Depuis cette année en Belgique, les travailleurs qui tombent malades au cours de leurs vacances légales ont le droit récupérer ces congés. Depuis l’introduction de cette nouvelle réglementation, à peine 0,0265 % des travailleurs belges, soit 1 travailleur sur 3.772, ont converti des jours de congé en jours de maladie cette année. Lire plus
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Convertir ses jours de vacances en jours de maladie ? Une option qui reste utilisée de manière exceptionnelle.
Inversion des tendances en matière d’absentéïsme: les maladies de courte durée sont en diminution, les absences de longue durée augmentent.
Depuis le mois d’août, l’absentéisme pour maladie de courte durée n’est pas supérieur à l’année dernière. En analysant les absences pour maladie de moins d’un mois, SD Worx constate que les mois d’août, septembre et octobre marquent une pause dans l’augmentation annuelle des absences liées aux maladies. Un Belge sur trois n’a encore été absent aucun jour pour cause de maladie cette année. Cependant, la proportion de travailleurs absents plus d’un mois a augmenté, pour atteindre 13,27%. Lire plus
Suppression du certificat médical: les absences d’une journée chez les ouvriers des grandes entreprises ont augmenté quatre fois plus que dans les petites entreprises.
Dans les grandes entreprises, où le certificat médical a été supprimé pour les absences d’une journée, les absences d’un jour ont augmenté deux fois plus que dans les petites entreprises. Chez les ouvriers, l’augmentation était quatre fois plus importante dans les grandes entreprises que dans les petites entreprises ; chez les employés, l’augmentation était deux fois plus importante. Lire plus
Absences de longue durée: le COVID long n’a pas eu l’impact négatif supposé.
Une nouvelle étude démontre que le COVID long cause moins d’absences de longue durée que prévu. Selon la première étude belge* basée sur des infections avérées au coronavirus, réalisée par IDEWE, Acerta, la KU Leuven et UHasselt, seulement 1,4% des personnes souffrant d’une infection au coronavirus s’absentent pour maladie pendant plus de 12 semaines. Lire plus
Absentéisme: en cinq ans, le coût direct des maladies de courte durée a augmenté de 28 % pour les employeurs.
En 2022, les absences pour maladie (de courte durée) en Belgique ont coûté en moyenne 1 465 euros par travailleur malade (à temps plein) et par an. Ce chiffre ne correspond qu’au coût salarial direct du temps non travaillé. Cela représente une augmentation de 28 % par rapport à il y a cinq ans (2018). Ce chiffre a été calculé par SD Worx en combinant les données relatives au salaire effectif et à l’absentéisme de près de 650 000 travailleurs (qui ont été malades au moins un jour par an) et de 23 000 employeurs du secteur privé. Lire plus
Bruxelles et le Brabant Wallon, champions régionaux en matière de présentéisme dans nos entreprises où les absences se multiplient.
Les employeurs du Brabant wallon et de Bruxelles obtiennent les meilleurs résultats en termes d’absence à court terme (<1 mois) et à moyen terme (1 mois-1 an). Pourtant, l’absentéisme a augmenté partout en Belgique en 2022. Dans le Brabant wallon, le Brabant flamand et Bruxelles, l’augmentation a été la plus forte malgré des scores globaux plus faibles que la moyenne. Lire plus
L’absentéisme pour maladie de courte durée atteint un pic en 2022: un travailleur sur 7 a été malade au moins un jour/mois en moyenne.
Jamais au cours de ces dernières années il n’y a eu autant de malades au travail qu’en 2022. L’absentéisme pour maladie de courte durée a atteint un pic à une moyenne de 7,5 jours par travailleur. Cela représente plus d’un jour entier en plus par rapport aux années précédentes. En 2022, un travailleur sur sept en moyenne a été malade au moins un jour par mois. Lire plus
Absentéisme dans la fonction publique: les absences de courte durée diminuent, les certificats de longue durée augmentent.
Comment l’absentéisme pour cause de maladie chez les fonctionnaires fédéraux a-t-il évolué ces dernières années? Medex revient sur les absences des fonctionnaires fédéraux pour cause de maladie en 2020 et 2021. La pandémie de COVID-19 a exercé une forte influence, tant sur les taux d’absentéisme et les causes médicales que sur le fonctionnement de Medex. Lire plus
Absentéisme : les pics d’absence liés aux maladies de courte durée n’ont pas encore complètement disparu.
Février et mars sont connus pour être des mois où les absences pour maladie augmentent. Cette année est différente. Après le pic d’Omicron en janvier (4,80%), les absences de courte durée (<30 jours) ont diminué en février pour atteindre 4,12% et 4,06% en mars. Ce chiffre est encore supérieur de 30% à celui de février et mars de l’année dernière (3,03% et 3,10% respectivement). Ce n’est qu’en mars 2020, au début de la première vague, qu’il était encore plus élevé (5,16%). Dans le secteur de la production alimentaire, le pic est derrière nous, mais pour environ la moitié des autres secteurs, on constate une résurgence du côté des maladies. Lire plus
Augmentation de 50% des absences de courte durée par rapport à une année normale, une conséquence directe des effets du variant Omicron.
Les travailleurs belges étaient à 50% plus susceptibles, d’être absents pour une courte durée en janvier 2022 qu’au cours du même mois en 2019. C’est ce qui ressort des calculs de Securex. Lors d’un mois de janvier « normal » (sans coronavirus), environ 2,6% du temps de travail disponible des travailleurs est perdu en raison d’absence de courte durée. En janvier 2022, ce taux était à 3,9%. Les ouvriers ont été plus sévèrement touchés que les employés (respectivement 63% contre 45,3% de plus qu’en janvier 2019). Un effet indéniable du variant Omicron dans le nombre de travailleurs malades. Lire plus