Une connaissance intermédiaire du néerlandais suffit déjà pour accroître les chances des chercheurs d’emploi bruxellois francophones de trouver du travail. La probabilité augmente avec le niveau de connaissance. En outre, l’importance du néerlandais varie selon le secteur d’activité et le genre. C’est ce qu’il ressort d’une nouvelle étude de l’Institut Bruxellois de Statistique et d’Analyse (IBSA) de perspective.brussels et du Bureau fédéral du Plan sur base de données récoltées auprès d’Actiris. Lire plus