Deux Belges sur trois déclarent qu’ils aimeraient travailler temporairement ailleurs si le besoin s’en faisait sentir. Par exemple, pour donner un coup de pouce dans le secteur des soins, où l’on manque actuellement de mains, ou dans les entreprises qui, en dépit ou précisément à cause du coronavirus, ont beaucoup de travail supplémentaire. Selon l’enquête menée par le groupe Acerta, le personnel dans l’horeca, dans le secteur de la communication et de l’événementiel et dans le tourisme est favorable à un échange temporaire. Il y a toutefois deux conditions importantes pour le Belge : la perspective de pouvoir retourner auprès de son employeur d’origine, ainsi que le maintien du salaire et des conditions de travail. Lire plus