Le travailleur belge évalue à seulement 5,8 sur 10 son sentiment de sécurité psychologique au travail. Ce score est encore moins élevé parmi les travailleurs à temps partiel. Ceux-ci ont le sentiment, plus souvent que les collaborateurs à temps plein, qu’ils n’ont pas droit à l’erreur et que leurs erreurs, pour autant qu’ils en commettent, seront utilisées contre eux. Ils ont également plus de mal à discuter de sujets sensibles avec leurs collègues et osent moins solliciter de l’aide que leurs collègues à temps plein. Lire plus