Il reste 3 semaines encore ! En effet, la date butoir du 1er octobre annonçant la disparition des chèques-repas en papier approche et près de 10.000 sociétés n’ont toujours pas effectué la migration vers l’électronique. Ce passage modifie bien entendu la manière de ‘gérer’ les chèques-repas au sein des entreprises mais pourrait également générer des économies importantes.

Les opérateurs sur le marché, au nombre de 3, se disputent un marché qui a connu quelques sueurs froides l’année dernière, lorsque les parlementaires évoquaient la suppression pure et simple des titres repas. Aujourd’hui, à moins d’un mois de cette date fatidique, environ 15% des employeurs octroyant des chèques-repas à leurs collaborateurs, doivent encore effectuer la conversion du papier vers l’électronique.

Les acteurs du marché sont particulièrement ‘disponibles’ actuellement… Une étude récente de l’organisation flamande des classes moyennes, Unizo, établit que les chèques-repas électroniques proposés par ces derniers dans le cadre de la mutation vers une solution électronique peuvent présenter des prix inférieurs de 60 à 75% que ceux en vigueur actuellement. A vos calculettes donc!