Malt, plateforme de freelancing en Europe, continue de s’imposer sur le marché belge. En 2024, Malt Belgique affiche une nette progression de son
volume d’affaires : +30% par rapport à l’année précédente. C’est la troisième année consécutive de croissance pour Malt en Belgique, une performance qui intervient dans un climat économique incertain et face à une concurrence
grandissante. Ces résultats soulignent une tendance de fond : de plus en plus d’entreprises belges intègrent le freelancing comme levier stratégique pour gagner en agilité et en expertise.

Avec environ 300 000 freelances, la Belgique représente un marché dynamique. En à peine trois ans, près de 24.000 freelances belges – soit près d’un sur dix – ont rejoint la plateforme Malt. Parmi eux, 55% y ont reçu au moins une opportunité et plus de 61.000 jours ont été facturés par nos freelances auprès d’entreprises clientes, en comparaison à 2023 où un peu plus de 50.000 jours avaient été facturés. Côté clients, plus de 1.000 entreprises belges font appel à Malt pour leurs besoins en compétences externes, parmi lesquelles : la Commission Européenne, Solvay, Syensqo, Ontex, Proximus, la Banque Nationale de Belgique, Becton Dickinson, Puratos, La Lorraine Bakery Group ou encore Lyreco.

« En 2023, la dynamique du marché belge du freelancing a confirmé l’appétence des entreprises pour des solutions plus agiles et flexibles. Fort d’une croissance de 30% entre 2023 et 2024, nous avons saisi l’opportunité d’affiner notre stratégie commerciale pour répondre encore mieux aux besoins des entreprises en pleine transformation digitale. En nous positionnant comme un partenaire clé, capable de leur offrir un accès rapide aux meilleurs experts, nous visons une nouvelle année de croissance soutenue (+35%) « , explique Malik Azzouzi, General Manager de Malt BeNeLux.

Le freelancing au coeur des enjeux technologiques

La croissance de Malt en Belgique est portée en grande partie par les besoins accrus en expertise liée à la transformation numérique, à l’IA et aux innovations technologiques. Les entreprises sont de plus en plus nombreuses à s’entourer de talents externes pour relever ces défis. Pour rappel, les freelances consacrent en moyenne quatre heures par semaine à se former, là où les employeurs ont pour objectif d’atteindre 5 jours de formation par an et par équivalent temps-plein. Cette formation continue des freelances souligne à nouveau leur valeur ajoutée, et ce alors que de nombreuses entreprises font actuellement face aux défis de la montée en compétences et de la requalification de leurs effectifs internes.

Malgré les restrictions budgétaires observées dans de nombreux secteurs, les entreprises belges ont poursuivi leur transition vers des modèles plus agiles en 2024, comme en témoigne la croissance continue du volume d’affaires de Malt Belgique. Et l’année 2025 démarre sur une note tout aussi positive, avec déjà 8,9 millions d’euros de volume d’affaires enregistré au premier trimestre et près de 25 millions d’euros réservés pour l’année 2025.

Une décennie pour transformer le monde du travail

Lancée en 2013 en France et active en Belgique depuis trois ans, Malt veut révolutionner l’accès au travail indépendant à l’échelle européenne.
« Chaque mois, 20.000 nouveaux freelances rejoignent Malt en Europe. La Belgique ne fait pas exception. L’agilité et l’expertise qu’ils apportent sont essentielles pour aider les entreprises à rester compétitives, dans un environnement bouleversé par les avancées technologiques. C’est pourquoi nous mettons à leur disposition des outils comme AI Search, qui réduit à quelques secondes le temps nécessaire à l’identification de profils pertinents », conclut Malik Azzouzi.

Là où les freelances étaient autrefois méconnus ou sous-estimés, il s’agit de les rendre incontournables dans un marché désormais en pleine expansion. Après une année 2024 bouclée avec un volume d’affaires de 800 millions d’euros, marquant une progression de 30% par rapport à 2023, Malt s’attend cette année à une croissance similaire qui lui permettrait de franchir le cap du milliard d’euros et d’atteindre la profitabilité en 2025.