La CNE souligne les conséquences des mesures attendues du nouveau gouvernement concernant entre autres le relèvement de l’âge de fin de carrière, le saut d’index ou encore le travail obligatoire pour les chômeurs et bénéficiaires de revenu d’intégration,… Elle souhaite par ailleurs mettre en évidence l’impact particulier des mesures sur le secteur non-marchand.
Il est vrai que l’inquiétude est forte auprès de l’ensemble des acteurs du secteur associatif.
La CNE relève parmi les principaux motifs d’inquiétude:
– L’impact potentiel sur les budgets des soins de santé, l’emploi et la détérioration des conditions de travail;
– Le report des dépenses d’infrastructures en maison de repos et en accueil de l’enfance (Région wallonne);
– La disparition possible des dispositifs de plan tandem qui permettaient au personnel de plus de 50 ans de passer en crédit-temps mi-temps avec embauche d’un jeune travailleur;
– Les menaces sur les dispositifs d’aide à l’emploi dans le cadre des transferts de compétence (emplois jeunes, APE, ACS,…).