L’idée est installée et soutenue par les institutions lorsque l’Organisation des Nations Unies, via son rapport spécial sur les droits de l’Homme et l’extrême pauvreté, avance que notre société « obsédée » par la croissance mène à une économie du burn-out et de la pauvreté et subit dès lors une situation dramatique en matière de santé mentale.
L’économie – et par extension la réalité quotidienne de nos entreprises – coupable de la plupart de nos maux… C’est difficile à entendre lorsque, comme nous, on croit aux valeurs positives de réalisation de soi, aux liens sociaux que le travail permet de créer et d’entretenir, à la contribution évidente des entreprises à l’amélioration de notre qualité de vie… Sujet délicat, n’est-il pas? On y va. Lire plus