Résultats pour le tag: ‘mobilité interne’

Le potentiel de la mobilité interne reste inexploité à ce jour: 18% des travailleurs déclarent rester en attente d’un nouveau job au sein même de leur entreprise.

Six employeurs européens sur dix sont conscients des talents dont ils auront besoin à long terme. Il en va de même pour les employeurs belges. Néanmoins, plus de la moitié des employeurs ne disposent pas d’une vue d’ensemble détaillée des compétences disponibles en interne et des profils susceptibles d’être modifiés. Les employeurs français et belges éprouvent aujourd’hui le plus de difficultés à redéployer leurs travailleurs ailleurs, au sein de l’organisation. Les travailleurs belges sont les moins ouverts à l’idée d’occuper un autre emploi en interne. Pourtant, près d’un travailleur sur cinq (18%) admet rechercher passivement un emploi en interne. Lire plus

Les seniors sont régulièrement oubliés lorsqu’il s’agit d’accorder des promotions internes.

La réussite d’un projet ou une évaluation positive est souvent le facteur décisif pour obtenir une promotion. Mais cela n’est pas évident pour tout le monde, selon une récente enquête européenne menée par le cabinet international de recrutement Robert Walters. Près de deux tiers des actifs de plus de 55 ans auraient été ‘oubliés’ pour une promotion au cours de l’année passée. Les employeurs sous-estiment-ils la valeur de la génération plus âgée ? Lire plus

Guerre des Talents: la Belgique au premier rang des pays concernés avec 65% des employeurs confrontés aux difficultés de recrutement.

65% des employeurs belges peinent à attirer du personnel. La guerre des talents reste le plus grand défi du marché du travail. Concrètement, comment cela se traduit-il en chiffres et en points d’attention pour les employeurs ? Par le biais d’une enquête européenne menée auprès de 4371 entreprises, dont 551 employeurs belges, SD Worx met en lumière la manière dont les employeurs d’aujourd’hui s’arment dans la lutte pour attirer de nouveaux travailleurs. La mobilité interne et la formation des salariés représentent des solutions pour un employeur sur trois en Belgique. Lire plus

Guerre des Talents: nos entreprises remettent le recrutement et la mobilité interne au sommet de leur liste de priorités.

À présent que l’économie redémarre, la guerre des talents bat à nouveau son plein. Sur le marché européen, le recrutement est redevenu une priorité importante des RH. Tombé en dixième place en 2020, il est remonté à la première position dans la liste des préoccupations des RH en Belgique et atteint la troisième position en Europe depuis 2021. À cet effet, les entreprises belges sollicitent également les collaborateurs dont elles disposent déjà : à ce jour, un poste vacant sur trois est pourvu en interne. Une moyenne similaire à nos voisins français (36%) et hollandais (31%). Lire plus

Opportunités de promotion en début de carrière: les jeunes femmes, pourtant ‘mieux diplômées’ sont désavantagées par rapport à leurs collègues masculins.

Bien que les jeunes femmes soient mieux qualifiées que les hommes et qu’elles accèdent plus aisément au marché du travail, elles sont moins promues que les hommes, même en tout début de carrière (lorsqu’il n’est généralement pas encore question d’enfants). Près d’un travailleur sur quatre dit avoir bénéficié d’une promotion au cours des cinq dernières années. Chez les jeunes femmes (moins de 25 ans), cette proportion est de 14% contre 25% chez les jeunes hommes. De nos jours, les promotions restent par ailleurs l’apanage du marché interne du travail. C’est ce qu’il ressort d’une enquête menée par Randstad Research. Lire plus

Le gel des salaires se profile pour l’année 2021: l’évolution dans l’entreprise et l’attraction de nouveaux talents passeront par d’autres avantages.

SeulEn réponse à l’impact potentiel de la pandémie de la COVID-19, 71% des entreprises ont envisagé de mettre en place de nouveaux avantages sociaux pour les employés. La majorité des employeurs belges s’attendent à ce que les salaires des nouvelles recrues restent stables, voire diminuent, en 2021, selon une étude de l’agence de recrutement Robert Half. Pour alléger l’impact de la pandémie de la COVID-19, de nombreuses entreprises introduisent de nouveaux avantages extra-légaux. Il semble également que le travail à domicile ainsi que le recrutement à distance deviennent des tendances qui perdureront après la pandémie. Lire plus

Obtenir une promotion sans augmentation de salaire, une ‘nouvelle’ réalité liée à la crise du coronavirus.

Une étude menée par l’agence de recrutement Robert Half montre que si les trois quarts (77%) des cadres ont proposé une promotion à un ou plusieurs employés pendant la crise COVID-19, plus de la moitié d’entre eux n’ont pas bénéficié d’une augmentation de salaire. L’étude fait partie d’une enquête salariale plus large qui sera publiée en fin d’année lors du lancement du RH Salary Guide 2021. Lire plus

La mobilité interne semble s’installer enfin comme une solution privilégiée pour atteindre l’employabilité durable.

La moitié des employeurs s’attendent à ce que leurs travailleurs changent de fonction en interne dans les 5 ans. Ils prévoient également de continuer d’investir dans la multi-employabilité au cours des prochaines années. Ils le font par l’intermédiaire de plusieurs mesures de soutien et sensibilisent leurs travailleurs au changement d’emploi au sein de l’entreprise au cours des 5 prochaines années. Lire plus

Le CDI rime de moins en moins avec stabilité: un contrat à durée indéterminée sur huit rompu en 2018.

La fin d’une époque? Le temps où les contrats à durée indéterminée semblaient quasiment intouchables est révolu. En 2018, près de 12 % d’entre eux ont été rompus, soit une hausse de 10 % par rapport à l’année précédente. Mais, dans seulement 1 cas sur 5, la décision de mettre un terme à la collaboration émane de l’employeur. Ce sont surtout les petites entreprises et le secteur marchand qui sont confrontés à des ruptures de contrat de travail à durée indéterminée. Le secteur non marchand constate deux fois plus de départs que le marchand pour cause de retraite.  Lire plus

Privilégiez vos talents et la mobilité internes! Le coût des recrutements ratés est énorme.

35.000 euro : voici le coût minimum que représente le mauvais recrutement externe d’un employé. Securex a calculé le coût que représente un mauvais recrutement externe après 2 ans de service. Pour les employés, cela revient à 35.250 euros par personne. La facture est encore plus salée pour un cadre (51.850 euros) ou un membre de la direction (151.700 euros). Message sous-jacent: veillez à mieux utiliser les talents déjà disponibles au sein de nos organisations. Lire plus

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