TELUS Santé a publié aujourd’hui son indice de santé mentale, qui comprend des rapports sur la santé mentale des travailleurs en Europe, à Singapour, en Australie, en Nouvelle-Zélande, au Royaume-Uni, aux États-Unis et au Canada. Le rapport européen a recueilli des données auprès de personnes interrogées en France, en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas, en Pologne et en Espagne et a révélé que les travailleurs qui ne sont pas satisfaits de leur santé physique connaissent une perte de productivité de plus de 77 jours par an.
L’indice a également révélé que les travailleurs qui estiment que leur employeur ne les soutient pas suffisamment pour leur bien-être physique ont un score de santé mentale inférieur de 14 points à celui des travailleurs qui déclarent bénéficier d’un excellent soutien.
« Il existe un lien évident entre l’activité physique, le soutien de l’employeur et le bien-être de l’employé. Chez TELUS Santé, nous avons constaté que les employés dont la santé physique et le bien-être sont soutenus par leur employeur jouissent d’une meilleure santé mentale et d’une plus grande productivité – des résultats que tout entrepreneur s’efforce d’atteindre », a déclaré Paula Allen, directrice mondiale de la recherche et des renseignements client chez TELUS Santé. « Cela souligne la nécessité pour les organisations d’accorder la priorité au bien-être en tant que pilier stratégique de la réussite de toute entreprise. En intégrant des systèmes de soutien solides tels que les programmes d’aide aux employés (PAE) et les programmes de santé physique et de bien-être dans la culture du lieu de travail, les entreprises peuvent créer une main-d’œuvre plus résiliente, plus engagée et plus productive. »
L’indice de santé mentale de TELUS a également révélé les éléments suivants :
- Les travailleurs qui perçoivent un manque de soutien de la part de leur employeur pour leur bien-être physique perdent près de 18 jours ouvrables de productivité supplémentaires par an.
- Onze pour cent des travailleurs interrogés ne font jamais d’activité physique.
- La réduction du stress motive 15% des travailleurs à pratiquer une activité physique.
- Moins d’un travailleur sur dix (7%) s’adonne à des activités qui favorisent le bien-être social.
- 38% des travailleurs restent exposés à un risque élevé en matière de santé mentale.
- Ils sont 16% à déclarer être anxieux, 14% à souffrir de maux de tête ou de migraines, 12% de dépression et 11% de troubles du sommeil.
- Les employés qui ne disposent pas de fonds d’urgence sont presque deux fois plus susceptibles de chercher à réduire leur stress, plus de trois fois plus susceptibles de déclarer une dépression et près de trois fois plus susceptibles de déclarer avoir fait l’objet d’un diagnostic d’anxiété.
En septembre 2024, les scores de santé mentale des travailleurs dans les différentes régions étaient les suivants :
– Singapour : 61,6
– Australie : 61,1
– Nouvelle-Zélande : 59,7
– Royaume-Uni : 64,6
– Europe : 61,6
– États-Unis : 70,6
– Canada : 64,4
L’indice de santé mentale de TELUS s’appuie sur un système de notation des réponses qui transforme les réponses individuelles en valeurs de points. Des valeurs de points plus élevées sont associées à une meilleure santé mentale et à un risque moindre pour la santé mentale. Les scores compris entre 0 et 49 correspondent à des niveaux de détresse, les scores compris entre 50 et 79 correspondent à des niveaux de tension et les scores compris entre 80 et 100 correspondent aux niveaux optimaux de santé mentale.
L’indice de santé mentale de TELUS comprend également des informations sur l’alimentation et l’expérience liée au système de santé. En tant qu’entreprise à vocation sociale, TELUS Santé s’engage à améliorer les résultats en matière de santé et à partager des informations précieuses.
Source: les données servant à établir l’indice de santé mentale de TELUS ont été recueillies par le biais d’un sondage réalisé en ligne du 16 septembre 2024 au 30 septembre 2024 auprès de 500 répondants en France, en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas, en Pologne et en Espagne. Toutes les personnes interrogées résident en Europe et ont été employées au cours des six derniers mois. Les données ont été pondérées statistiquement pour s’assurer que la composition régionale et par sexe de l’échantillon reflète cette population.