YouGov, l’institut d’étude, a interrogé plus de 1 000 travailleurs belges, pour le compte de Comet, expert du travail hybride, quant à leur approche envers leur lieu de travail et les relations entre collègues. Les chiffres révèlent notamment que les femmes et les jeunes actifs ont par exemple davantage besoin de se réunir en présentiel. Autre chiffre remarquable, près d’un Belge sur deux souhaite voir plus souvent ses collègues. 

Selon une étude YouGov, près de 50% des actifs belges souhaitent voir plus souvent leurs collègues! D’ailleurs, 37% d’entre eux considèrent que le télétravail peut avoir un impact négatif sur leur épanouissement individuel et professionnel. Le travail à distance n’est donc pas une solution pour tous. Parmi les maux pointés du doigt, il y a : le manque de relations humaines (29%) et de partage d’information entre collègues (29%), le sentiment d’isolement (22%) et d’augmentation de la charge de travail (20%).

C’est pour cette raison que près de la moitié des Belges souhaitent retourner plus régulièrement au bureau pour se réunir entre collègues (47%), ainsi que pour maintenir (36%) et créer de nouvelles relations (35 %).

L’environnement de travail : un élément clé dans le bien-être des employés

A l’heure où l’immobilier de bureaux vit une crise mondiale sans précédent, ce qui ressort également de l’enquête menée par YouGov pour Comet, c’est l’importance que revêt l’environnement de travail pour les travailleurs belges. Pour répondre à l’émergence de nouveaux besoins, de nombreux services sont apparus ces dernières années. Ils visent à enrichir l’offre de bureaux et à apporter une expérience plus qualitative aux employés. Comet, par exemple, propose plusieurs solutions permettant aux entreprises de réinvestir dans le temps collectif et présentiel, même ponctuel : des salles de réunions et d’événementiel dotées de nombreux services (restauration, assistance technique, bien-être etc.).

Victor Carreau, CEO et co-fondateur de Comet (photo) : « Alors que le secteur de l’immobilier de bureau traverse une crise sans précédent, il est important que les grands acteurs et entreprises revoient leur copie et proposent des espaces plus adaptés aux besoins des salariés et à leur mode de travail hybride. Plus que jamais, ces derniers se déplacent au bureau pour y voir leurs collègues, créer et entretenir du lien, obtenir des informations ou générer de nouvelles idées, choses qu’ils ne peuvent pas faire à distance. Les espaces de rencontre professionnels – bureaux, événements, formations et autres – doivent donc d’abord et avant tout permettre de rassembler et faire circuler les idées. »

De l’immobilier à l’hospitalité…

Comet s’est lancée dans les lieux de réunion et l’événementiel en 2016. D’abord acteur de l’immobilier, Comet voit dans les résultats de cette étude l’occasion de recentrer son identité sur son métier d’hospitalité : l’accueil et l’accompagnement de ses clients. Concentrée sur les carences et frustrations qui naissent du télétravail, l’entreprise souhaite préparer la prochaine étape dans son développement et annoncer l’évolution de sa marque.
Victor Carreau se réjouit de cette évolution : « Si nous restons un acteur de l’immobilier, il est frappant de noter que nos clients viennent et reviennent principalement pour notre accompagnement humain et chaleureux. Il était temps que cette proximité soit rendue dans notre identité visuelle car nous exerçons surtout un métier de service, d’humain à humain. Au travers de nos lieux, nous cherchons à rassembler les professionnels dans un monde qui tend à les éloigner, à les faire échanger. C’est d’ailleurs pour cette raison que notre nouvelle marque met en avant le préfixe “co” : il vient des termes “collaboration”, “collectif” ou “cohésion”, notamment. »

Méthodologie de l’enquête : l’enquête a été réalisée auprès d’un échantillon représentatif de la population active (18+) en Belgique (n=1017), France (n=1005) et Espagne (n=1020). Le sondage a été effectué en ligne, sur les panels propriétaires de YouGov, du 4 au 10 juillet 2023, selon la méthode des quotas.