Résultats pour le tag: ‘mobilité professionnelle’

Proposer un environnement de travail équilibré et des perspectives de carrière reste le meilleur moyen de freiner les envies d’ailleurs.

Un travailleur sur deux dans notre pays (49 %) n’a pas du tout postulé pour un emploi ni répondu à une offre d’emploi au cours des six derniers mois. C’est moins qu’à la même période un an plus tôt (55 %). Ce sont en particulier les travailleurs qui ont le sentiment d’avoir un emploi durable avec, entre autres, des perspectives de carrière claires, des formations et une attention sur le bien-être mental, qui postulent nettement moins ailleurs. « Ceux qui ont une carrière durable se sentent aussi mieux mentalement et sont plus motivés dans leur travail. Les entreprises qui veulent attirer et retenir les meilleurs profils doivent en tenir compte sur un marché de l’emploi en pénurie », déclare Acerta. Lire plus

La mobilité professionnelle a augmenté en 2020 et 2021, une réalité vécue très différemment selon les secteurs.

Depuis un an, Statbel publie les ‘matrices de transition’ qui montrent si une personne a changé de statut sur le marché du travail sur la base de l’Enquête sur les forces de travail (EFT). Focus donc sur une partie de ces transitions: les transitions d’un emploi à l’autre, c’est-à-dire les personnes occupées qui continuent de travailler, mais qui ont changé d’emploi. Lire plus

Les talents quittent les Big 4 et le consulting pour revenir vers des secteurs traditionnels.

Une récente enquête réalisée par Robert Walters, société internationale active dans le recrutement montre que le nombre de professionnels de la finance qui quittent les Big 4 continue d’augmenter. C’est aussi le cas en Belgique. Mais alors qu’aux Pays-Bas, les sortants des Big 4 se sont principalement dirigés vers des entreprises de e-commerce, les talents belges ont choisi des organisations plus diverses, y compris des chaînes de supermarchés. Marie Parmentier, spécialiste du recrutement de professionnels de la finance, explique. Lire plus

Changement de job et de secteur d’activités en vue pour près de la moitié des jeunes travailleurs

La moitié des jeunes de la vingtaine actuellement sur le marché de l’emploi envisagent de quitter leur travail actuel pour un poste dans un secteur complètement différent. La crise du coronavirus n’y est pas étrangère. « Les Belges, surtout les jeunes, sont de plus en plus nombreux à vouloir tirer davantage de motivation de leur emploi et à partir en quête d’un poste plus valorisant. Les entreprises doivent en tenir compte si elles veulent remporter la guerre des talents », selon Acerta. Lire plus

The Great Resignation: la tendance semble se préciser chez nous et concerne principalement les personnes mises au chômage temporaire.

Aux Etats-Unis, l’idée est récemment apparue que la pandémie de COVID-19 a conduit à une grande démission (aussi appelée « the Big Quit »). Depuis le COVID-19, de nombreux·ses travailleur·ses auraient volontairement changé d’emploi ou voudraient en changer prochainement. Dans quelle mesure trouve-t-on des signes de ce phénomène en Belgique? Lire plus

Mobilité professionnelle: la situation de pénurie de talents n’accroît pas directement les envies de changement des travailleurs.

Les travailleurs ne montrent aucun signe d’évolution vers un comportement plus mobile sur le marché du travail. La pandémie n’a pas non plus changé la donne. La Belgique n’assiste pas au phénomène de « Grande Démission ». C’est ce qui ressort d’une étude menée par Randstad Research auprès de 3.016 travailleurs sur la façon dont ces derniers perçoivent leur carrière. Cette étude, qui fait suite à celle réalisée en 2014, témoigne avant tout d’une grande continuité avec la précédente. La principale différence réside dans la confiance accrue des travailleurs quant à la possibilité de trouver un autre emploi, tant au sein de leur entreprise qu’ailleurs.  Lire plus

Pas de ‘Grande Démission’ en Belgique pour le moment: la rotation du personnel reste à son niveau le plus bas dans nos entreprises.

Alors que les experts du marché du travail parlent depuis des mois d’une « grande démission » (ou ‘Great Resignation’ aux USA – à savoir des travailleurs quittant leur emploi en masse) qui se propagerait également au-delà des États-Unis, la rotation du personnel en Belgique a continué de baisser l’année dernière. En effet, en 2021, la rotation totale du personnel dans notre pays a atteint un niveau historiquement bas avec seulement 8,1% de rotation. Lire plus

Mobilité professionnelle: les travailleurs cherchent essentiellement de nouvelles opportunités au sein de leur entreprise actuelle.

Moins d’un employé sur 10 (8,5%) indique qu’il est actuellement à la recherche active d’un autre employeur. Cela ne signifie pas encore qu’ils vont effectivement effectuer ce changement. Environ un Belge sur trois déclare également chercher un autre poste auprès de son employeur actuel. La rareté sur le marché du travail peut inciter les employés à regarder en dehors de l’enceinte de leur entreprise. Une étude menée par SD Worx, spécialiste européen en matière de RH et de salaires, a montré qu’un quart des employés interrogés seraient ouverts à un travail chez un autre employeur. Les Néerlandais et les Belges semblent être les moins susceptibles de faire cette recherche. Lire plus

Pic de mobilité professionnelle sur le marché du travail: ce sont majoritairement les travailleurs qui prennent la décision de quitter leur emploi.

La Grande Démission se manifeste désormais aussi, de manière limitée pour le moment, en Belgique et en Europe. L’année dernière, le marché du travail a de nouveau évolué rapidement à la suite de la première année du coronavirus en 2020. Par conséquent, beaucoup plus de contrats de travail ont été rompus en 2021 qu’en 2020 (+31%), mais de nombreux nouveaux contrats de travail ont également été conclus (+32%). Ce qui est particulièrement frappant, c’est que le plus souvent, ce sont les travailleurs qui prennent l’initiative de quitter leur emploi. Lire plus

Pic du nombre de ruptures de contrat de travail à l’initiative des employés, effet direct des pénuries de main d’oeuvre.

Cette année, les ruptures de contrat sont 17 % plus nombreuses qu’avant la crise du coronavirus et 27 % plus nombreuses qu’en 2020. Dans 7 cas sur 10, c’est le travailleur qui prend (ou est impliqué dans) la décision. Seules 17,5 % des ruptures viennent uniquement de l’employeur. La pénurie sur le marché de l’emploi a poussé les Belges à chercher un autre emploi (plus) adapté après le coronavirus et les entreprises à attendre plus longtemps avant de procéder à des licenciements. Lire plus

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