Innovation: les entreprises traditionnelles voient leurs talents les quitter pour créer leurs propres start-ups et avoir un impact réel sur la société.

Pour la sixième année consécutive, Start it @KBC bat son propre record : pas moins de 323 start-ups se sont inscrites à la première vague de pitch de 2021 pour accélérer leur activité à Start it @KBC. 64 d´entre eux ont finalement été retenus par les dix équipes du jury, après deux journées de pitch intensives de manière numérique. Plus d’un fondateur sur trois (35%) a quitté son employeur précédent pour créer sa propre start-up. Remarquable: quatre sur dix le font délibérément afin d´avoir un impact réel sur le monde au sein d´une jeune start-up agile. A noter que la crise Corona n´a guère influencé le pas vers l’entrepreneuriat et la création d’une start-up (7%).

Pour beaucoup de gens, changer le monde et de préférence l’améliorer est la raison de quitter leur employeur et de créer leur propre start-up. 39% des fondateurs choisissent la vie relativement incertaine d´une start-up pour avoir plus d´impact. C´est ce qui ressort d´une enquête menée par l´accélérateur Start it@KBC auprès des 203 jeunes entreprises qui sont venues présenter leurs idées commerciales les 24 et 25 mars. C´est la sixième année consécutive que Start it @KBC organise des vagues de pitch pour attirer des start-ups innovantes, dans le but de les aider à se développer. Année par année, le nombre de jeunes entreprises qui postulent ne cesse d’augmenter.

Mieke Daniels, COO de Start it @KBC: « Il est frappant de constater le nombre de personnes qui affirment qu´elles auront plus d’impact sur le monde en créant une start-up elles-mêmes qu´en travaillant pour une grande organisation. La question se pose de savoir pourquoi les gens pensent qu´ils ne peuvent pas faire la différence dans les grandes organisations. Il s´agit là d′un grand défi pour les entreprises. »
« Les entreprises perdent une grande partie de leurs employés les plus innovants. Les raisons ne manquent pas: ils ne trouvent pas le moyen de détecter ces employés entreprenants, les employés n’ont pas la confiance nécessaire pour partager leur innovation avec leur employeur, il n’y a pas de structure pour valider une idée, … Pourquoi les entreprises ne sont-elles pas plus nombreuses à permettre à leurs employés de développer leurs propres idées et projets au sein de l’entreprise, voire à en faire des copropriétaires ? », ajoute Lode Uytterschaut, CEO de Start it @KBC.

Un tiers (35%) des jeunes entreprises qui sont venues présenter leur idée d’entreprise à Start it @KBC ont quitté leur employeur précédent pour créer leur propre société. Plus de la moitié d´entre eux (53%) ont toujours voulu démarrer leur propre entreprise, mais ont vu une plus grande organisation comme une bonne expérience d´apprentissage. 7% des start-ups indiquent qu´elles ont été forcées de trouver d’autres sources de revenus en raison de Corona, mais ont fait une vertu de nécessité pour réaliser leur rêve et créer une start-up.

65% des start-ups se concentrent à 100% sur leur start-up et en font leur profession principale. 15% gèrent leur start-up comme une activité secondaire.

Aperçu des start-ups Start it @KBC pour cette première vague en 2021

64 start-ups ont été admises. Parmi le nouveau groupe de start-ups, 45.4% travaillent sur leur start-up depuis un à douze mois, 27.1% depuis un an, 13% depuis deux ans et 9% depuis trois ans ou plus.
Les start-ups admises sont surtout actives dans les services numériques (50%), l’agroalimentaire (17%) et le secteur de la santé (13%).

This website is brought to you by Quasargaming.com's online Fruitautomaten games such as Speelautomaten and Gokautomaten.