Une enquête menée auprès de 1.000 parents belges ayant des enfants vivant sous leur toit âgés de 2 à 12 ans révèle que nous passons de moins en moins de temps à jouer avec nos enfants. Si le jeu est considéré comme une part importante de l’éducation, il doit généralement être casé entre le travail, les tâches ménagères, le temps passé derrière un écran et les autres tracas quotidiens. Beaucoup se reconnaîtront dans le sentiment de culpabilité qu’éprouvent la majorité des parents.
Avec la campagne « Libère le super-pouvoir de jouer », le Groupe LEGO veut lancer un appel inspirant à refaire du jeu une priorité. C’est pourquoi le jeudi 12 octobre est proclamé World Play Day ou Journée Mondiale du Jeu : la journée où nous prenons le temps de jouer.
« Jouer avec ses enfants est non seulement source de joie mais c’est aussi un élément essentiel du bien-être mental. En prévoyant du temps avec vos enfants, vous créez un tampon contre la surcharge de travail et vous préservez un bon équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Jouer ensemble renforce non seulement nos relations mais est bénéfique aussi pour notre attention, notre motivation et notre créativité. La paix sociale est la clé de moments qui ont du sens et de souvenirs précieux dans la vie quotidienne, » explique Lode Godderis, professeur en médecine du travail à la KU Leuven.
Quasiment tous les parents belges (90%) sont d’accord : jouer est un élément essentiel de l’éducation de leur(s) enfant(s) et stimule la créativité. Cependant, nous avons du mal à trouver du temps pour jouer, selon les résultats de l’enquête réalisée par le Groupe LEGO auprès de 1.000 parents belges. Si 2 mamans et papas sur 5 (42%) déclarent jouer tous les jours avec leur(s) enfant(s), 4 parents sur 10 (40%) déclarent ne pas consacrer plus d’1 heure au jeu avec leur progéniture. Plus les enfants sont jeunes, plus nous jouons. Ainsi, les parents d’enfants de moins de 6 ans indiquent plus souvent passer plus de 2 heures par semaine à jouer avec leurs enfants que les parents d’enfants de plus de 6 ans (<=6 ans : 40 % ; >6 ans : 23%).
Les parents aimeraient jouer plus avec leurs enfants, selon 79 % des mères et des pères, et ce manque de temps passé à jouer ensemble entraîne souvent un sentiment de culpabilité. 65 % des parents interrogés déclarent se sentir souvent coupables de trop peu jouer avec leurs enfants. Près de 7 parents sur 10 (68 %) ont du mal à trouver un équilibre entre vie professionnelle et vie privée.
Les 5 principales activités citées comme empêchant les parents de jouer plus souvent en famille sont les suivantes :
- Tâches ménagères (65 %)
- Travail (64 %)
- Écrans (35 %)
- Devoirs (26 %)
- Hobbies (23 %)
2 parents sur 3 indiquent également trouver difficile de prendre du temps pour jouer en raison du planning des enfants, entre l’école et les loisirs.
Trouver du temps n’est pas le seul défi à relever.
Plus de la moitié des parents interrogés (57 %) déclarent également avoir du mal à réfléchir à des activités qu’ils peuvent faire avec leurs enfants. Bien entendu, le Groupe LEGO a la solution. Si vous cherchez de l’inspiration pour le World Play Day du 12 octobre ou pour tout autre jour, vous pouvez consulter le site Web lego.com/world-play-day pour découvrir divers jeux et constructions LEGO amusants.
« 48 % des mamans et des papas indiquent ressentir une pression sociale quant au fait d’être la mère ou le père parfait(e). Avec cette campagne, nous voulons attirer l’attention sur l’importance du jeu pour l’enfant et la famille et inspirer les parents afin qu’ils puissent jouer agréablement avec leurs enfants, apprendre, évoluer et s’amuser ensemble. Le jeu est un élément essentiel du développement, qui permet à l’enfant d’acquérir des aptitudes ou, comme nous le disons chez le Groupe LEGO, des « super-pouvoirs » qui lui profiteront à l’avenir, » explique Annemarie de Munnik, Marketing Director de LEGO Benelux.
Source: enquête menée en ligne par le bureau d’études de marché iVOX à la demande de Wavemakers entre le 1er septembre 2023 et le 15 septembre 2023 auprès de 1.000 parents belges ayant des enfants de 2 à 12 ans vivant sous leur toit, représentatifs en termes de genre, de langue, d’âge et de niveau d’études. La marge d’erreur maximale pour 1.000 répondants est de 3,02%.