Développement personnel & rétention: faute d’opportunités offertes par leur employeur, 60% des salariés se disent prêts à changer de job!

La pandémie n’a pas seulement changé la fréquence à laquelle nous nous rendons au bureau, elle a également bouleversé les critères du travail idéal pour de nombreux employés. Alors qu’il y a deux ans seulement, rien ne comptait plus que le salaire ou un contrat à durée indéterminée, l’équilibre travail-vie privée et la possibilité de s’épanouir figurent désormais aussi parmi les priorités des salariés. Mais les employeurs se sont-ils adaptés à ce changement ? En collaboration avec le bureau d’études Markteffect, GoodHabitz, expert de l’apprentissage en ligne et du développement personnel, a sondé 1.044 employés belges et 210 décideurs sur la gestion des talents.

Les critères du « travail idéal » ne comptent pas seulement quand nous cherchons un (nouvel) emploi, ils nous poussent également à changer d’emploi. 60 % des travailleurs belges partagent cet avis en matière d’opportunités d’épanouissement personnel, et un sur six déclare que les propositions de son entreprise dans ce domaine ne sont pas intéressantes ou appropriées. « On pourrait s’attendre à ce que les priorités de l’employeur moyen évoluent en fonction des développements du marché du travail, mais de nombreuses organisations ont encore du mal à s’y retrouver », déclare Max Winter, country manager chez GoodHabitz. « Et c’est un problème, car cela les empêche de façon structurelle d’attirer et de retenir de nouveaux talents. »

Les employeurs et les employés ne sont pas sur la même longueur d’onde

61 % des employeurs comprennent l’importance de l’épanouissement personnel sur le lieu de travail et conviennent qu’il existe une réelle probabilité que le personnel quitte l’entreprise dans le cas contraire. Malgré cela, 64 % disent ne pas approfondir le sujet parce qu’ils trouvent que leur programme en la matière est déjà suffisamment attrayant. 11 % déclarent même ne pas offrir du tout d’opportunités d’épanouissement personnel, alors que 24 % des employés les réclament. « La différence est frappante », ajoute Max Winter. « Cela révèle une perspective différente sur le contenu d’un tel programme et/ou sur le degré de personnalisation de ces opportunités. Cela peut aussi s’expliquer par des incompréhensions entre l’employeur et les employés quant aux possibilités offertes au personnel. »

Satisfaction professionnelle et possibilités d’apprentissage

Une étape importante vers l’épanouissement personnel est la mise à disposition de parcours d’apprentissage et de formations. 34 % des sondés préfèrent l’apprentissage traditionnel en classe. 35% choisissent de le combiner avec l’apprentissage en ligne (apprentissage mixte), et 48% apprennent plus vite sur le tas. Selon deux travailleurs sur trois, la formation en ligne est directement bénéfique à leur développement personnel. « Notre expérience montre que de nombreuses organisations belges ont encore une offre de formation assez traditionnelle, alors que la formation numérique offre une foule d’avantages. Elle facilite notamment l’apprentissage segmenté, qui permet aux salariés de choisir le moment où ils apprennent : lorsqu’ils n’ont pas de travail, par exemple, ou – pourquoi pas – uniquement quand ils en ont envie. La mise en œuvre d’une formation numérique est un investissement relativement faible qui peut se traduire immédiatement par une plus grande satisfaction au travail. »

 

Source: GoodHabitz

This website is brought to you by Quasargaming.com's online Fruitautomaten games such as Speelautomaten and Gokautomaten.