Le travailleur belge continue à travailler pendant un tiers (34 %) de ses jours de maladie. C’est un recul important par rapport à 2014, quand le travailleur belge poursuivait encore le travail pendant près de la moitié (46 %) de ses jours de maladie. « Il semble que les travailleurs optent de plus en plus pour leur propre santé. C’est une bonne nouvelle, mais le fait de continuer à travailler en cas de maladie n’est ni bon ni mauvais. Tant le repos que le travail peuvent contribuer à un rétablissement rapide, en fonction de la situation médicale et professionnelle concrète » explique Heidi Verlinden, HR Research Expert chez Securex. Lire plus
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Présentéïsme excessif? Les travailleurs belges restent moins souvent au travail lorsqu’ils sont malades.
Le nombre de malades de longue durée continue de progresser: quelles sont les raisons de cette augmentation?
Les absences pour cause de maladie sont en augmentation dans tous les registres. Une analyse approfondie de la situation qui prévaut chez ses clients – qui représentent environ 10% de l’ensemble de la population active belge – amène Attentia à conclure que les périodes de maladie de courte durée (inférieures à un mois) se stabilisent autour des 3,3%. Le nombre de malades qui restent chez eux plus d’un mois mais moins d’un an augmente pour se fixer à 1,90% des heures prestables. Les maladies de longue durée – correspondant à une absence de plus d’un an – continuent, cette année encore, de progresser et atteignent le niveau record de 2,89% de toutes les heures de travail utiles. Lire plus
L’absentéisme des fonctionnaires fédéraux est en augmentation, principalement pour des cas de dépression et de burnout.
Qu’en est-il de l’absence pour cause de maladie des fonctionnaires fédéraux? Chaque année, Medex, qui est en charge du contrôle de l’absentéisme des fonctionnaires fédéraux, publie une étude relative à l’absentéisme fédéral. Tant dans le secteur privé que dans le secteur public, le taux d’absentéisme pour maladie a augmenté ces dernières années. Seules les absences pour maladie des fonctionnaires fédéraux avaient diminué en 2017. Malheureusement, cette baisse n’a pas continué en 2018. Le taux d’absentéisme pour 2018 s’élève à 6,58%, soit une augmentation de 0,43%. Lire plus
Une partie des travailleurs en congé de maladie prolongé pourrait travailler dans le cadre d’une réintégration progressive: un potentiel à exploiter?
Près d’un tiers (32 %) des travailleurs en Belgique qui ont été absents pendant plus d’un mois pour cause de maladie disent qu’ils auraient pu et voulu travailler pendant au moins une partie de leur absence. Les principaux obstacles qu’ils ont rencontrés pour reprendre le travail plus rapidement sont un avis négatif du médecin (44 %) et l’absence de possibilités de reprendre le travail progressivement (19 %). Le potentiel pour une reprise du travail chez les absents de longue durée est grand, mais reste encore largement inexploité. Lire plus
Le vaccin contre la grippe est-il un outil efficace dans la lutte contre l’absentéisme d’automne?
La période de vaccination contre la grippe va de la mi-octobre à la fin décembre. Actuellement, seuls 4 % des employeurs permettent à leurs collaborateurs de se faire vacciner gratuitement contre la grippe sur leur lieu de travail. Ce sont surtout les grandes entreprises qui offrent le vaccin. « Celui-ci permet pourtant de réduire considérablement l’absentéisme pour cause de maladie », explique Geert Premer, médecin du travail. Lire plus
Le taux d’absentéisme reste à son niveau le plus haut et semble se stabiliser après 10 années d’augmentation.
Le plafond de l’absentéisme en Belgique semble atteint : tout comme en 2018, le pourcentage de maladie de longue et de moyenne durée est lui aussi resté presque au même niveau durant le premier semestre de 2019. Le nombre d’absences de courte durée des travailleurs belges n’augmente pas lui non plus. Les chiffres de l’absentéisme du premier semestre de 2019 suggèrent, tout comme ceux de 2018, que l’absentéisme en Belgique pourrait avoir atteint un plafond. Lire plus
Impact du leadership sur l’absentéisme: les collaborateurs qui travaillent par ‘obligation’ sont plus souvent absents et beaucoup plus exposés au burn-out.
L’étude menée par Securex tente d’établir et de quantifier la relation de causalité entre la qualité du leadership et la motivation autonome des travailleurs. Les résultats confirment la plupart des affirmations classiques en faveur d’un management durable: le supérieur hiérarchique reste à l’évidence un maillon crucial dans la réduction de l’absentéisme, du risque de burn-out et de la rotation du personnel. Pas moins de 1 travailleur sur 5 (22 %) qui travaille par obligation est absent au moins 21 jours pour cause de maladie ou d’accident domestique – parmi ceux qui choisissent délibérément de travailler, ils ne sont que 1 sur 10. Aussi, ceux qui travaillent parce qu’ils le souhaitent (par envie) sont disposés à travailler 4 ans de plus que ceux qui travaillent parce qu’il le faut. Lire plus
Travailler au bureau n’est pas sans risque: près de la moitié des employés souffrent d’une mauvaise ergonomie qui peut causer plus de 20 jours d’incapacité en moyenne.
Les absences pour cause de douleurs physiques coûteraient chaque année 3 159 euros en moyenne par employé! La position assise non-ergonomique lors d’un travail de bureau entraîne non seulement de nombreuses douleurs chez l’employé mais aussi un coût non négligeable pour l’employeur. Les travailleurs qui souffrent de douleurs à la nuque, au dos, aux épaules ou aux mains totalisent, en moyenne, 21,5 jours d’incapacité de travail. Lire plus
L’absentéisme de courte durée augmente de 14,4% en 5 ans: les grandes entreprises confrontées à ce phénomène inquiétant.
L’absentéisme pour maladie de courte durée (absence sur le lieu de travail de moins de 30 jours) a augmenté de 14,4 % en Belgique au cours des 5 dernières années. En 2018, 2,38 % de toutes les heures ouvrables n’ont pas été prestées en raison de maladie de courte durée. Et c’est étonnant, car les Belges ne s’étaient encore jamais tant préoccupés de leur santé. Les plus petites entreprises ont deux fois moins de personnel absent pour une courte période de maladie que les grandes entreprises de notre pays. En outre, il existe de grandes différences entre les travailleurs : plus de la moitié des travailleurs belges n’a pris aucun jour de maladie l’an dernier. Lire plus