Il est une caste rare dont on parle peu dernièrement dans les sphères économiques: les patrons. Comment vont-ils, ces grands fauves solitaires? Que pensent-ils de ces évolutions multiples qui animent le marché du travail et donc, forcément, les effectifs qu’ils dirigent tant bien que mal? Comment font-ils face au défi complexe qui consiste à répondre aux attentes contradictoires de leurs collaborateurs? Et surtout, qui peut légitimement prendre soin de ces profils forcément sensibles et terriblement exposés aux sursauts de notre économie? Car, oui, il est possible – voire souhaitable – que les patrons aient besoin eux aussi de leur espace de bien-être… Lire plus
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L’absentéisme pour maladie de courte durée atteint un pic en 2022: un travailleur sur 7 a été malade au moins un jour/mois en moyenne.
Jamais au cours de ces dernières années il n’y a eu autant de malades au travail qu’en 2022. L’absentéisme pour maladie de courte durée a atteint un pic à une moyenne de 7,5 jours par travailleur. Cela représente plus d’un jour entier en plus par rapport aux années précédentes. En 2022, un travailleur sur sept en moyenne a été malade au moins un jour par mois. Lire plus

Blue Monday ce lundi 16 janvier, et pourtant c’est bien le lundi que les employés sont le plus productifs.
Le troisième lundi de janvier est connu depuis longtemps sous le nom de « Blue Monday », mais y compris tout au long de l’année, nous parlons des « Monday blues ». Cependant, une étude effectuée par le spécialiste du recrutement Robert Half montre que le début de la semaine est aussi le moment le plus productif. L’étude identifie également les facteurs ayant le plus d’influence sur notre productivité. Lire plus
Flexibilité des horaires: une approche qui peut être bénéfique à la fois pour l’équilibre privé/professionnel et pour la productivité des entreprises.
Selon un nouveau rapport de l’OIT, des heures de travail réduites ainsi que des aménagements plus flexibles en matière de temps de travail, comme ceux auxquels on a eu recours pendant la crise du COVID-19, peuvent être favorables à la fois à l’économie, aux entreprises et aux travailleurs et jeter les bases d’un équilibre meilleur et plus sain entre vie professionnelle et vie privée. Lire plus

Editorial – Composer avec le droit à la paresse, le défi n°1 des People Managers en 2023.
Les philosophes ont été les premiers à s’emparer de la question. Aujourd’hui, ce sont les politiques qui s’y intéressent. Demain, sera-ce le tour des DRH de s’intéresser au sujet? Le droit à la paresse s’inscrit aujourd’hui à l’agenda des conversations. D’où vient-il? Il est entre autres le fruit de la pandémie avec l’affirmation d’une génération ‘canapé’ qui n’a pas franchement détesté l’expérience du confinement. Ce droit constitue aussi une réponse aux doutes profonds – autrement dit, cette fameuse quête de sens – qui émergent face à la crise économique. Les travailleurs qui revendiqueront ce droit ’nouveau’ vont confronter leurs managers et leurs responsables RH à un sérieux problème: comment intégrer l’appel de la couette aux théories de la motivation qui permettent à nos entreprises de servir leurs clients, leurs bénéficiaires, leurs patients, leurs affiliés… ? Lire plus

Les travailleurs d’aujourd’hui conseillent à leurs enfants et à leurs proches de privilégier un environnement de travail différent.
La relation que les collaborateurs d’aujourd’hui entretiennent avec leur travail pourrait avoir un impact profond sur les décisions prises par les travailleurs de demain, selon une enquête menée par le Workforce Institute de UKG dans 10 pays auprès de collaborateurs, dirigeants et professionnels RH. En effet, d’après le rapport intitulé We Can Fix Work (Nous pouvons « réparer » le travail), 53 % des salariés français ne recommanderaient ni leur entreprise ni leur profession à leurs enfants ou à un jeune qui leur est cher (un chiffre qui passe à 46 % à l’échelle mondiale). Lire plus

Pour un travailleur sur trois, la hausse des prix de l’alimentation est la plus impactante sur le pouvoir d’achat pour près d’un tiers des travailleurs.
Selon le Baromètre FOOD d’Edenred, 30% des employés belges interrogés estiment que la hausse des prix des biens alimentaires serait la plus impactante pour leur portefeuille. Il s’agit de la deuxième préoccupation liée à la conjoncture économique, juste derrière la hausse des prix de l’énergie (33%). Lire plus

Enquête mondiale sur les Générations Z et Y: les jeunes travailleurs belges donnent la priorité à la flexibilité et au bien-être mental.
Pour la onzième année consécutive, Deloitte a publié les résultats de son enquête sur la génération Z et les milléniaux, dans laquelle les jeunes travailleurs de 46 pays, dont la Belgique, sont invités à exprimer leur point de vue sur le travail et le monde qui les entoure. Les principales tendances qui se dégagent de l’enquête de cette année tournent autour de quatre thèmes : la stabilité financière, la flexibilité du travail, la durabilité et la santé mentale. Mais contrairement à l’optimisme et à l’idéalisme qui ressortaient de l’enquête de l’année dernière, l’accent est mis cette fois sur le réalisme et l’urgence d’agir. C’est particulièrement vrai pour les répondants en Belgique. Lire plus

Comment les employeurs résistent-ils à la crise énergétique? Besoin d’une boîte à outils et des questions les plus fréquemment posées?
Actuellement, les employeurs posent à leur secrétariat social de nombreuses questions liées à la crise énergétique et à la forte inflation qui se traduit par des indexations successives. Force est de constater que la majorité des questions portent sur la manière dont les employeurs peuvent aider financièrement leurs collaborateurs en cette période difficile. Groupe S répertorie les questions les plus fréquentes. Lire plus

Baromètre sur la confiance et le bien-être de la mutualité Solidaris: la situation des moins des 40 ans ainsi que leur rapport au travail suscitent une grande inquiétude.
Comme chaque année depuis 2015, Solidaris publie son baromètre sur la confiance et le bien-être des Belges. La RTBF y fait écho et souligne que de manière globale, le Belge se sent mieux: par rapport à 2021, l’indice de bien-être et de confiance est en hausse de 1,8 point. Mais ce constat positif cache une réalité qui l’est beaucoup moins : selon cette étude menée par la mutualité socialiste, les moins de 40 ans ne vont pas bien. Et leur rapport en travail est en forte dégradation (à revoir, le débat organisé lors de l’émission Déclic ce lundi 12 décembre). Lire plus