Statbel, l’office belge de statistique, publie aujourd’hui le nombre d’emplois vacants dans les entreprises belges. Les chiffres reflètent la situation du 1er trimestre 2020 dans son ensemble. Ils ne tiennent donc compte de l’impact de la crise du COVID-19 sur le nombre d’emplois vacants que pour la fin de cette période. Le taux de vacance d’emploi – le nombre d’emplois vacants par rapport au nombre total de postes occupés au sein de l’entreprise – baisse principalement dans le secteur horeca (hébergement et restauration) et le secteur des activités financières et d’assurance alors qu’il augmente principalement dans les secteurs de l’information et de la communication et du non-marchand. Le taux de vacance d’emploi des postes d’intérim est nettement supérieur à celui des postes fixes. Lire plus
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Le nombre total d’emplois vacants diminuait de 7% au premier trimestre, avant que n’éclate la crise du coronavirus.
Pourquoi la Suisse, la Suède et l’Allemagne ont-elles mieux limité les dégâts que les autres pays européens face à la pandémie?
En dépit des nombreuses critiques visant les mesures prises par le gouvernement belge pour gérer la crise du coronavirus au cours de ces derniers mois, notre pays ne s’en sort pas trop mal. Un rapport international publié par The Adecco Group place notre pays à un niveau intermédiaire. Ce score positif résulte des mesures adoptées par le gouvernement belge en faveur des travailleurs pour soutenir notre économie. En moyenne, le PIB et le taux de chômage en Belgique sont touchés moins durement que dans d’autres pays. Lire plus
84% des étudiants exercent un travail rémunéré et plus d’un sur 5 est engagé sans contrat!
84% des étudiants exercent un travail rémunéré. Il s’agit d’un nouveau record: 84% des étudiants exercent un travail rémunéré. C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude menée fin mars – début avril par Randstad Research auprès de 1.500 étudiants. L’an dernier, le compteur stagnait encore à 80%. Curieusement, le travail au noir continue à s’amplifier malgré les assouplissements du statut d’étudiant. Plus d’un tiers des étudiants admettent que le travail exercé pendant l’année scolaire porte préjudice à leurs études. Lire plus
Les intentions de recrutement des entreprises sont en berne mais les employeurs prédisent un retour à la normale d’ici 12 mois.
Le baromètre de l’emploi de ManpowerGroup montre les premiers effets de la crise sanitaire du Covid-19 sur les intentions de recrutement des employeurs en Belgique et dans le monde. Ainsi, la Prévision Nette d’Emploi affiche son niveau le plus faible et est pour la première fois négative depuis le lancement de l’enquête en Belgique en 2003. 72% des employeurs en Belgique s’attendent à ce que leurs recrutements reprennent un rythme équivalent à celui précédant COVID-19 endéans les 12 prochains mois. Lire plus
L’analyse statistique des chiffres du marché du travail démontre le premier impact du coronavirus: c’est la durée du temps de travail qui a servi de variable d’ajustement.
En tant qu’office belge de statistique, Statbel souhaite analyser l’impact du coronavirus sur le marché du travail. C’est pourquoi Stable publie dorénavant des données mensuelles provisoires sur l’emploi et le chômage, tirées de l’Enquête sur les forces de travail (EFT). Cette enquête est harmonisée au niveau européen. Dans cette première publication, il s’agit d’examiner la durée de travail et les raisons pour lesquelles les répondants ont travaillé plus ou moins pendant la crise du coronavirus. On observe ainsi, comme prévu, une nette diminution de la durée de travail. Une personne occupée sur quatre a travaillé moins que d’habitude, voire pas du tout, au cours du mois de mars. Lire plus
Malgré le rebond quasi immédiat, les perspectives pour l’économie belge restent mauvaises avec 180.000 emplois probablement perdus.
La nouvelle édition de l’enquête mène par l’ERMG (Economic Risk Management Group) – la huitième vague depuis fin mars – vient d’être diffusée. Les entreprises interrogées indiquent une baisse du chiffre d’affaires de 26% par rapport au niveau d’avant crise, soit une amélioration de 5 points de pourcentage par rapport à l’enquête précédente et le meilleur résultat depuis la première enquête menée fin mars. Cette amélioration est principalement due aux secteurs du commerce et de la construction, tandis que l’horeca et le secteur des arts, spectacles et services récréatifs gardent leurs voyants au rouge. Au niveau de l’avenir proche, un retour à la normale n’est pas encore d’actualité. Six entreprises sur dix s’attendent à une diminution de leur emploi d’ici la fin de l’année et sept entreprises sur huit ne pensent pas atteindre le niveau du chiffre d’affaires d’avant crise au troisième trimestre. Les perspectives pour l’économie belge restent donc mauvaises. Lire plus
Du chômage temporaire au licenciement? 180.000 personnes pourraient perdre leur emploi à court terme suite à la pandémie.
À l’aube de la première phase importante du déconfinement, la perte moyenne de chiffre d’affaires rapportée par les entreprises belges s’est à peine légèrement améliorée selon l’enquête de l’ERMG menée la semaine dernière. Les entreprises sondées continuent en grande partie de faire état d’une demande languissante qui pèse sur le redressement. Elles indiquent qu’elles envisagent de licencier un chômeur temporaire sur cinq environ. Cela signifie que jusqu’à 180 000 travailleurs sont susceptibles de perdre leur emploi. Lire plus
5 raisons pour lesquelles les jeunes travailleurs seront les principales victimes ‘économiques’ de la pandémie.
L’urgence suscitée par le COVID-19 touche pratiquement tous les individus dans le monde entier, peu importe leur âge, leurs revenus ou leur pays.Toutefois, les jeunes travailleurs vont être sévèrement impactés par les conséquences économiques de l’épidémie. Voici cinq raisons pour lesquelles les jeunes devraient être tout particulièrement ‘ciblés’ par les effets négatifs de la crise. Lire plus
Les mesures d’urgence en matière d’assurance-chômage doivent être suivies d’une réflexion long terme pour éviter une catastrophe sociale.
Avec la crise du coronavirus, des chercheurs UCLouvain, KU Leuven et UGent interpellent les autorités sur l’attention indispensable à apporter aux incitations créées par les mesures prises en urgence (chômage temporaire, etc.). Ils pointent l’importance de ces mesures visant à sauver les postes de travail et le savoir-faire par des mesures strictement temporaires. Toutefois, ils soulignent qu’une attention accrue aux incitations créées par les dispositions prises en urgence est à présent nécessaire car, « malgré ces soutiens, des salariés seront licenciés dans les jours et semaines qui viennent ou l’ont déjà été. Ils ne peuvent être oubliés. De manière strictement temporaire, il est, dès lors, recommandé de réduire la durée d’emploi préalable à l’octroi des allocations de chômage complet. » Lire plus