En tant qu’office belge de statistique, Statbel souhaite analyser l’impact du coronavirus sur le marché du travail. C’est pourquoi Stable publie dorénavant des données mensuelles provisoires sur l’emploi et le chômage, tirées de l’Enquête sur les forces de travail (EFT). Cette enquête est harmonisée au niveau européen. Dans cette première publication, il s’agit d’examiner la durée de travail et les raisons pour lesquelles les répondants ont travaillé plus ou moins pendant la crise du coronavirus. On observe ainsi, comme prévu, une nette diminution de la durée de travail. Une personne occupée sur quatre a travaillé moins que d’habitude, voire pas du tout, au cours du mois de mars. Lire plus
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L’analyse statistique des chiffres du marché du travail démontre le premier impact du coronavirus: c’est la durée du temps de travail qui a servi de variable d’ajustement.
L’absentéisme continue d’augmenter: le Belge s’est absenté en moyenne 13 jours sur l’année pour cause de maladie.
L’absentéisme pour cause de maladie a continué d’augmenter en 2019, en particulier en raison de la hausse continue des absences de longue durée (entre 1 mois et 1 an). L’absentéisme de courte durée (moins d’un mois) a peu évolué comparé à 2018, mais est soumis à la grippe saisonnière entre autres, avec des pics en février et octobre, deux mois records. Le Belge a été malade en moyenne près de 13 jours (12,9) cette année. L’an dernier, cette moyenne s’élevait à 12,6 jours. Sur une période de cinq ans, cela représente une hausse de 15,0 %. Lire plus
La reprise du travail à temps partiel après maladie ou accident s’installe progressivement auprès des travailleurs et des (grandes) entreprises.
Le nombre de Belges qui reprennent partiellement le travail chez leur employeur après une période d’absence pour cause de maladie ou d’accident a pratiquement doublé en l’espace de cinq ans. À l’heure actuelle, 1,92 % des travailleurs malades reprennent progressivement le travail. Toutefois, d’importantes différences existent au niveau régional. La Région de Bruxelles-Capitale est en tête avec 2,33 % de malades qui reprennent progressivement le travail. Il existe également des différences manifestes entre les grandes et les petites entreprises. Les grandes entreprises comptent près de deux fois plus de reprises progressives que les plus petits employeurs. Autre point positif, le nombre de ruptures du contrat pour force majeure médicale diminue : 3,14 % des contrats à durée indéterminée ont été rompus pour cette raison en 2018, selon les chiffres collectés par Acerta. Lire plus
Impact du leadership sur l’absentéisme: les collaborateurs qui travaillent par ‘obligation’ sont plus souvent absents et beaucoup plus exposés au burn-out.
L’étude menée par Securex tente d’établir et de quantifier la relation de causalité entre la qualité du leadership et la motivation autonome des travailleurs. Les résultats confirment la plupart des affirmations classiques en faveur d’un management durable: le supérieur hiérarchique reste à l’évidence un maillon crucial dans la réduction de l’absentéisme, du risque de burn-out et de la rotation du personnel. Pas moins de 1 travailleur sur 5 (22 %) qui travaille par obligation est absent au moins 21 jours pour cause de maladie ou d’accident domestique – parmi ceux qui choisissent délibérément de travailler, ils ne sont que 1 sur 10. Aussi, ceux qui travaillent parce qu’ils le souhaitent (par envie) sont disposés à travailler 4 ans de plus que ceux qui travaillent parce qu’il le faut. Lire plus
L’absentéisme de courte durée augmente de 14,4% en 5 ans: les grandes entreprises confrontées à ce phénomène inquiétant.
L’absentéisme pour maladie de courte durée (absence sur le lieu de travail de moins de 30 jours) a augmenté de 14,4 % en Belgique au cours des 5 dernières années. En 2018, 2,38 % de toutes les heures ouvrables n’ont pas été prestées en raison de maladie de courte durée. Et c’est étonnant, car les Belges ne s’étaient encore jamais tant préoccupés de leur santé. Les plus petites entreprises ont deux fois moins de personnel absent pour une courte période de maladie que les grandes entreprises de notre pays. En outre, il existe de grandes différences entre les travailleurs : plus de la moitié des travailleurs belges n’a pris aucun jour de maladie l’an dernier. Lire plus
Amélioration du statut indépendant avec la suppression du délai de carence dès le huitième jour d’absence.
Le processus d’alignement du statut des travailleurs indépendants sur celui des salariés se poursuit. La Commission de l’économie de la Chambre a voté ce mardi, à l’unanimité, une proposition de loi qui améliore fortement la situation des indépendants malades. L’indemnité journalière (59,85 euros pour un chef de ménage ; 47,89 euros pour un isolé ; 36,47 euros pour un cohabitant) sera versée dès le premier jour d’absence si l’incapacité est de huit jours ou plus. C’est donc la fin des quatorze jours non indemnisés en vigueur actuellement. Lire plus
L’absentéisme pour cause de maladie et les coûts qui y sont associés continuent d’augmenter.
Côté pile: un travailleur sur trois dans le privé (soit 36 %) n’a pas été une seule fois absent pour cause de maladie l’année passée. Côté face : presque deux tiers (64 %) des travailleurs ont été absents au moins un jour pour cause de maladie. L’absentéisme pour cause de maladie en Belgique a continué d’augmenter pour atteindre en moyenne 12,6 jours par an en 2018. Cette augmentation est principalement due au taux d’absentéisme de longue durée qui a augmenté de 75 % en dix ans. Lire plus
Et pendant ce temps, les indépendants travaillent…
Alors que les statistiques diverses attestent d’un absentéisme galopant, d’autres analyses chiffrées tendent à démontrer que les travailleurs indépendants n’ont quant à eux pas le choix. Il s’agit de rester en activité malgré les problèmes de santé qui peuvent survenir… Selon une enquête menée par Acerta, deux indépendants en activité principale sur trois continuent généralement à travailler même s’ils ont des ennuis de santé. Lire plus
Absentéisme, un phénomène en aggravation. 4 malades sur 10 sont éloignés du travail pendant plus d’un an.
L’absentéisme continue d’augmenter en 2018, avec à nouveau, comme prévu, une forte augmentation des absents de longue durée. Dans le secteur privé, 41 % sont malades pendant plus d’un an. Cette augmentation s’observe tant chez les travailleurs âgés que chez les jeunes. Le vieillissement des travailleurs n’explique donc pas tout. Lire plus
Pink Ribbon: la réussite du retour au travail après un cancer du sein passe par la solidarité et la flexibilité.
Une femme sur huit est touchée par un cancer du sein au cours de sa vie*. Heureusement, de nombreuses femmes vainquent la maladie et souhaitent ensuite reprendre leur activité professionnelle. Le bureau conseil en recrutement Hays s’est penché sur le processus d’accueil des collègues qui reprennent le travail après avoir traversé cette épreuve. Lire plus