Le travail intérimaire confirme sa position de canal de recrutement durable sur le marché du travail. Selon une étude réalisée par IPSOS, à la demande de Federgon, après 5 mois, 45 % des travailleurs intérimaires ont un emploi fixe.

Le travail intérimaire confirme à nouveau sa position de canal de recrutement durable sur le marché du travail. C’est ce qui ressort de la toute dernière étude du profil des intérimaires effectuée par IPSOS, à la demande de Federgon. En Belgique, la moitié de la population s’est déjà inscrite dans une agence d’intérim et, au sein de ce groupe, 3 personnes sur 4 ont déjà travaillé comme intérimaires. Pour beaucoup, le travail intérimaire est donc le canal par excellence pour chercher un emploi. Les raisons qui incitent à travailler dans l’intérim sont multiples. Chaque travailleur intérimaire a sa propre motivation, sa propre histoire. Sur base des résultats, IPSOS a regroupé les intérimaires comme suit :

• Pour trouver un emploi fixe, 39 %
• Comme jeune ‘extra earner’ ou étudiant jobiste, 32 %
• Pour acquérir une expérience professionnelle utile, 6 %
• Pour relancer ou réorienter sa carrière, 13 %
• Pour arrondir ses fins de mois, 10 %.

Pour beaucoup de gens, le travail intérimaire est un moyen rapide et efficace de s’insérer sur le marché du travail. Près de la moitié des intérimaires ont trouvé un emploi fixe après 5 mois. Et à un peu plus long terme, 2 intérimaires sur 3 trouvent un emploi fixe. Le nombre d’intérimaires n’avait encore jamais été aussi élevé. Tant les entreprises que les intérimaires font clairement confiance au système. Ainsi, 81 % des intérimaires conseilleraient l’intérim à des amis ou à leur famille.

Il ressort également de l’étude que les intérimaires bénéficient, en moyenne, de plus de formations que les autres travailleurs, soit 16,5 % contre 7 %.

Source : Federgon