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L’augmentation du chômage économique se confirme et semble indiquer que notre marché de l’emploi est à bout de souffle.

Le chômage économique augmente pour le troisième trimestre d’affilée. Le chômage économique temporaire parmi les ouvriers s’élevait à 0,65 % au troisième trimestre de 2019. Il  dépasse ainsi déjà le pourcentage du T3 2018 et est même un peu plus élevé qu’en 2016. La Flandre présente traditionnellement un pourcentage de chômage économique plus élevé que la Wallonie et le T3 2019 ne fait pas exception : 0,75 % contre 0,69 %. Dans la Région de Bruxelles-Capitale, les chiffres du chômage économique indiquent une pénurie structurelle sur le marché de l’emploi. Lire plus

Focus sur le paramédical, représentant 22% des professions libérales: un secteur majoritairement féminin marqué par des écarts de rémunérations historiques.

A l’occasion de cette journée des aides-soignants en date du 16 octobre, le groupe RH Acerta s’est penché sur les données démographiques et salariales du secteur paramédical. Pourquoi? En Belgique, 22 % des titulaires d’une profession libérale exercent une profession paramédicale. Leur nombre a augmenté d’un peu moins de 20 % entre 2014 et 2018, ce qui fait du paramédical la deuxième catégorie de professions libérales à la croissance la plus rapide de Belgique. Lire plus

De plus en plus de travailleurs étrangers en Belgique: +13,6% au cours des 5 dernières années.

La part de personnes non belges sur le marché de l’emploi belge a augmenté de 13,6 % au cours des 5 dernières années. Toutefois, les chiffres d’Acerta révèlent que la Belgique peut encore mieux faire sur le plan de la politique active de migration professionnelle. À l’heure actuelle en Belgique, 1 travailleur sur 7 n’a pas la nationalité belge. À Bruxelles, la proportion est même de 1 sur 4, ce qui s’explique par une interaction entre l’offre et la demande. Lire plus

La reprise du travail à temps partiel après maladie ou accident s’installe progressivement auprès des travailleurs et des (grandes) entreprises.

Le nombre de Belges qui reprennent partiellement le travail chez leur employeur après une période d’absence pour cause de maladie ou d’accident a pratiquement doublé en l’espace de cinq ans. À l’heure actuelle, 1,92 % des travailleurs malades reprennent progressivement le travail. Toutefois, d’importantes différences existent au niveau régional. La Région de Bruxelles-Capitale est en tête avec 2,33 % de malades qui reprennent progressivement le travail. Il existe également des différences manifestes entre les grandes et les petites entreprises. Les grandes entreprises comptent près de deux fois plus de reprises progressives que les plus petits employeurs. Autre point positif, le nombre de ruptures du contrat pour force majeure médicale diminue : 3,14 % des contrats à durée indéterminée ont été rompus pour cette raison en 2018, selon les chiffres collectés par Acerta. Lire plus

L’horaire de travail classique de 9h à 17h semble appartenir au passé: la majorité des employeurs veut privilégier la qualité (et la flexibilité) du travail à la quantité des prestations.

Chez plus de 6 employeurs sur 10, il n’est plus question d’un horaire de travail traditionnel de neuf à cinq. Selon l’enquête proposée par Acerta, les entreprises sont très flexibles au niveau de la limite du temps de travail. Il reste toutefois des poches de résistance: 10 % des employeurs évaluent encore les performances des travailleurs en fonction de leur présence sur le lieu de travail et de la quantité de travail effectuée, plutôt que de la qualité du travail. Lire plus

L’épargne-carrière est déjà entrée dans les moeurs malgré l’absence de cadre légal: les employeurs y sont favorables pour autant que les coûts salariaux n’augmentent pas.

Près de 70 % des employeurs voient l’épargne-carrière comme une opportunité, à condition que les frais salariaux n’augmentent pas. 1 entreprise sur 3 offre actuellement à ses collaborateurs la possibilité « d’acheter » d’une manière ou d’une autre du temps, bien qu’il n’existe pas encore de cadre légal à cet égard. Elle permet à ses travailleurs d’acheter des jours de vacances supplémentaires avec leur salaire, un bonus ou une prime, voire d’épargner des heures supplémentaires ou des congés extralégaux. L’entreprise répond ainsi aux désirs de son personnel de s’absenter plus longtemps de son travail à un moment donné de sa carrière. Lire plus

La formation comme outil de rétention: la majorité des employeurs reste dans une posture réactive.

Un employeur sur deux en Belgique ne propose des formations à ses travailleurs que s’il perçoit des signaux que le travailleur est à la recherche d’un autre emploi. Parmi les conclusions de l’enquête bisannuelle menée par Acerta auprès de CEO et dirigeants d’entreprise et consacrée aux formations de leur personnel, apparaît un autre enseignement marquant: plus l’ancienneté d’un collaborateur dans une entreprise est élevée, moins il a l’occasion de suivre des formations. Le fait de proposer des formations reste donc apparemment plutôt un réflexe réactif qu’une partie intégrante d’une politique proactive au sein de nos entreprises. Lire plus

Les employés belges exigent davantage de formations mais s’intéressent de moins en moins au dispositif du congé-éducation.

En 2018, 1,9 % des travailleurs du secteur privé a eu recours au système du congé-éducation payé (CEP), selon les calculs du prestataire de services RH ACERTA. Il est étonnant de constater que ce pourcentage a encore baissé : en 2017, 2,0 % des travailleurs a pris un CEP, ce qui représentait déjà un faible taux. Malgré l’importance croissante de la formation continue, le travailleur belge opte peu pour le congé-éducation payé. Nous constatons également de nettes différences régionales. En Wallonie, 1 % des travailleurs à peine utilise le congé-éducation payé, soit la moitié de la moyenne pour la Flandre (2 %). La Région flamande a quant à elle décidé de réagir. Lire plus

Les employeurs se plaignent de la longueur de la procédure à suivre dans le cadre des élections sociales.

En mai 2020, des élections sociales seront à nouveau organisées dans nombre d’entreprises. Près de 9 employeurs sur 10 trouvent la procédure actuelle de 150 jours trop longue pour organiser les élections sociales.  Un employeur sur 4 (26 %) est d’avis qu’elle pourrait être réglée en 30 jours. 41 % visent plutôt la moitié de la période actuelle, à savoir, 75 jours. Une petite moitié (48 %) des employeurs trouvent la fréquence des élections, tous les 4 ans, très correcte, 41 % seraient favorables à leur organisation tous les 6 ans. Lire plus

La mobilité interne semble s’installer enfin comme une solution privilégiée pour atteindre l’employabilité durable.

La moitié des employeurs s’attendent à ce que leurs travailleurs changent de fonction en interne dans les 5 ans. Ils prévoient également de continuer d’investir dans la multi-employabilité au cours des prochaines années. Ils le font par l’intermédiaire de plusieurs mesures de soutien et sensibilisent leurs travailleurs au changement d’emploi au sein de l’entreprise au cours des 5 prochaines années. Lire plus

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