Les recruteurs sont de plus en plus attentifs aux compétences comportementales Les soft skills – appelées compétences émotionnelles en français – sont un critère déterminant dans l’embauche d’un candidat. À formation et expériences égales, le savoir-être fait toute la différence! C’est ce que révèle une étude sur les soft skills menée auprès de 450 responsables RH français.e.s, publiée par le jobboard Monster, le 6 décembre. Lire plus
Résultats pour le tag: ‘employabilité’
Des secteurs qui meurent, des empires qui naissent. Gare à l’excès d’hypocrisie en matière de People Management pour soutenir la révolution numérique…
Le secteur de la grande distribution est aujourd’hui au cœur du cyclone. Il est ‘mis en échec’, provisoirement en tout cas, par la transformation digitale. Il n’est pas le premier et ne sera assurément pas le dernier. Les géants du secteur (Carrefour), et bien d’autres entreprises (Mestdagh), sont contraints de se réorganiser et de sacrifier des emplois. Fatalité ou défaut de prévoyance ? Trop tard dans tous les cas… même si nous avons parfaitement conscience que cela n’apaise en rien les tourments des personnes concernées au premier rang. Ne serait-il pas temps de poser la question du rôle managérial dans la transformation digitale dont celui à jouer en matière de People Management ? Partageons ces quelques 5 constats et suggestions. Lire plus
Qui est responsable de l’employabilité? L’avis des salariés du Luxembourg.
Selon le Randstad Workmonitor du 4ème trimestre 2017, une grande majorité des salariés (82%) au Luxembourg considèrent que leur employabilité relève de leur propre responsabilité ou qu’il s’agit d’une responsabilité partagée entre eux, leur employeur et le gouvernement. Parmi les personnes interrogées, 72% comprennent que leur employeur soutienne leur développement personnel seulement si cela correspond aux objectifs de l’entreprise. Lire plus

Les données inquiétantes du baromètre d’employabilité : à peine 1 Belge sur 10 veut travailler jusqu’à 67 ans ou plus.
Pour la troisième fois déjà depuis 2013, Securex mesure à l’aide du baromètre d’employabilité jusqu’à quel âge le travailleur belge pense « pouvoir » , « vouloir » et « devoir » travailler. Moins d’1 Belge sur 10 (8%) veut travailler jusqu’à 67 ans ou plus, tandis que 16% seulement s’en estiment capables physiquement ou mentalement. Le Belge pense qu’il devra travailler jusqu’à 65 ans alors qu’en réalité, il ne travaille que jusqu’à 61 ans. Il est étonnant que ces chiffres restent stables, en dépit des efforts du gouvernement. Lire plus

87% des travailleurs se disent ouverts aux formes d’emploi qui soutiennent la nouvelle économie.
Selon une enquête mondiale de ManpowerGroup, 87% des travailleurs sont prêts à se lancer vers les ‘emplois nouvelle génération’ (intérim, freelance, indépendant, ‘platform worker’, ‘slasher’ , etc.). La mutation des modes d’organisation du travail et la quête de flexibilité semble être intégrée dans les esprits… Lire plus