La dispense de versement du précompte professionnel (ou ‘réduction PP’) pour le travail en équipe et de nuit est l’une des mesures fiscales les plus importantes pour soutenir la compétitivité du coût salarial dans nos secteurs à forte intensité de main-d’œuvre. Elle permet à l’employeur de ne pas verser au trésor public un montant de précompte professionnel égal à 22,8% du total des rémunérations imposables des travailleurs concernés, si les conditions fixées sont remplies. Aujourd’hui, dans le cadre du mini tax-shift, un certain nombre d’adaptations importantes ont été apportées à ces conditions. Lire plus
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Coût salarial pour le travail de nuit : le mini tax-shift introduit un nouveau régime de réduction du précompte professionnel.
Comment nos entreprises ont-elles utilisé les marges dégagées par le saut d’index et le taxshift? Création d’emplois ou distribution de dividendes?
Lorsqu’il s’agit de dresser le bilan du gouvernement précédent, ses opposants affirment régulièrement que les entreprises auraient utilisé le saut d’index et le taxshift pour augmenter leurs bénéfices, et non pour créer de nouveaux emplois et investir dans de nouveaux secteurs économiques liés au développement durable par exemple. La FEB a voulu livrer une analyse approfondie visant à nuancer voire contredire cette affirmation. Selon la fédération patronale, les entreprises ont bel et bien utilisé le saut d’index et le taxshift pour stimuler les exportations, créer de l’emploi et investir dans l’avenir. Lire plus
Nouvelle progression des salaires nets au 1er janvier grâce au Tax Shift.
Le 1er janvier 2019, les salaires mensuels nets augmenteront à nouveau de 36 euros au minimum. C’est en effet à cette date qu’entrera en vigueur la troisième et dernière phase du tax shift. Une personne, ayant un salaire brut de 2.000 euros et un salaire net de 1.575 euros, gagnera ainsi 37 euros nets en plus à partir du 1er janvier. Sur quatre ans, l’augmentation totale se chiffrera alors à 168 euros. Lire plus
L’économie prend une pause en 2018 et 2019 sans que cela ne constitue une menace pour l’emploi.
L’enquête semestrielle menée par la FEB afin de mesurer les perspectives économiques vient d’être diffusée. Selon l’organisation patronale, les résultats de l’enquête ne laissent pas prévoir une régression importante dans l’immédiat, mais on assiste plutôt à une pause dans le cycle économique. Elle escompte dès lors une croissance économique de 1,75% en 2018 et de 1,8% en 2019 pour la Belgique. Dans l’immédiat, les entreprises sont confrontées à un réel besoin d’activation des ressources potentiellement disponibles sur le marché de l’emploi. Lire plus
Les PME belges ont créé 4.500 nouveaux jobs grâce à la mise en oeuvre du Tax Shift.
Nouveau record ! En 2017, l’emploi structurel au sein des PME belges a augmenté pour la quatrième année consécutive, cette fois de 0,9 % par rapport à 2016. Cela signifie concrètement une augmentation de 15.235 emplois au sein des entreprises allant jusqu’à cent collaborateurs. Parmi ceux-ci, un peu moins de 30 % – quelque 4.500 emplois – sont intégralement ou partiellement dus au tax shift. Lire plus
La réduction des cotisations de sécurité sociale ne bénéficie pas à toutes les entreprises, loin de là!
À partir du 1er janvier 2018, les cotisations de sécurité sociale de base seront réduites de 5 % pour les employeurs. Toutefois, cet avantage ne s’applique pas à tous les employeurs. En vérité, la réduction varie entre 1 et 2 %. Le groupe Acerta a donc calculé l’impact réel de la deuxième phase du tax shift sur les frais patronaux. Celui-ci sera de l’ordre de 1 à 2%. Qui va donc en bénéficier ? Qui en sera exclu? Lire plus
Malgré l’amélioration de sa compétitivité, la Belgique conserve un handicap des coûts salariaux de 11% vis-à-vis de ses voisins.
Le Conseil Central de l’Economie (CCE) a publié son rapport technique intermédiaire pour la période 2017-2018. Les organisations patronales ont pris acte de l’amélioration réelle de la compétitivité à mi-parcours de la période AIP. Celle-ci est garante d’un renforcement de la croissance et de plus d’emplois dans le secteur privé. Elles remarquent cependant qu’en dépit du bon travail réalisé ces dernières années, il subsistera néanmoins en 2018 un handicap des coûts salariaux absolu d’environ 11%. Le travail n’est donc pas fini. Lire plus