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De gros soucis en vue pour renouveler les effectifs: de moins en moins de jeunes font leur entrée sur le marché du travail.

L’emploi a augmenté en Belgique. L’ambition « jobs, jobs, jobs » s’est concrétisée et la pénurie sur le marché du travail est une réalité. Mais qu’observons-nous ? La part des jeunes de moins de 25 ans arrivant sur le marché de l’emploi a baissé année après année. En 2015, 3,1 % des travailleurs étaient des jeunes qui faisaient leurs premiers pas sur le marché du travail. En 2018, la part des jeunes sur le marché de l’emploi a baissé à 2,9 % de l’emploi total. Un effet de la promotion soutenue en faveur de l’esprit d’entreprise. Autre constat remarquable: le non-marchand perd en popularité auprès des personnes fraîchement diplômées. Lire plus

La féminisation du marché de l’emploi est résolument en marche.

Chaque année, de nouveaux employeurs apparaissent et assurent de nouvelles occupations. Toutefois, ce ne sont pas les seuls qui assurent une croissance de l’occupation. Les employeurs déjà présents sur le marché en 2015 ont réalisé une croissance nette de l’occupation de 5,84 % entre 2015 et 2018. Des entreprises des secteurs privés, le non-marchand, l’industrie manufacturière et les services semblent employer le plus de personnes. Ainsi par exemple, près de 8 travailleurs sur 10 actifs dans le non-marchand sont des femmes. Lire plus

Les flottes ‘écologiques’ de voitures de société coûtent de plus en plus cher aux entreprises: +22% entre 2012 et 2018.

Les voitures de société émettent aujourd’hui 17 % de moins de CO2 qu’il y a sept ans. L’enquête menée par Acerta s’est inscrite dans le cadre du débat sur les voitures de société polluantes et le budget mobilité. Mais cette flotte plus écologique a aussi un coût pour nos entreprises : la valeur catalogue des voitures de société a augmenté de presque 22 % entre 2012 et 2018, passant de 24.793,39€ à 30.152,89€. Lire plus

Le partage des collaborateurs envisagé comme une solution aux besoins de développement et d’acquisition des compétences manquantes pour nos entreprises.

Mettre à jour les compétences, pourvoir les postes vacants et conserver les collaborateurs (et leur motivation) constituent les principaux défis auxquels nos entreprises feront face ces deux prochaines années en termes de gestion du personnel. En vue de relever ces défis, il semble que la moitié des employeurs soient disposés à partager leurs propres collaborateurs avec d’autres entreprises. Si nos entreprises disposent d’un cadre pour aborder les obstacles pratiques comme établir la bonne correspondance, prévoir suffisamment de temps pour l’accompagnement et avoir un scénario juridique simple, le rematching externe deviendra réalité sur le marché de l’emploi belge. Lire plus

Pour quelles raisons les employeurs montrent-ils un intérêt – mesuré – envers le budget mobilité?

Le lancement du dispositif Cash for Car n’a pas enthousiasmé les employeurs. Désormais, il semble que celui concernant le budget mobilité reçoive un accueil nettement plus positif. Il ressort d’une enquête menée par le secrétariat social Acerta que 60 % des employeurs prévoient de proposer un budget mobilité à leur personnel. Plus de la moitié des travailleurs sont prêts à échanger leur voiture contre de l’argent, une voiture plus respectueuse de l’environnement ou des vacances supplémentaires. Lire plus

Les envies de mobilité des travailleurs sont au plus bas: 12% d’entre eux seulement sont à la recherche d’un nouvel emploi.

L’intention de changer de travail n’a jamais été aussi basse en Belgique: à peine 12 % des Belges occupés recherchent activement un nouvel emploi. En 2018, ils étaient encore 16 %. La mobilité professionnelle, déjà faible, perd encore 4%. Cependant, les Belges ne se pressent pas non plus pour changer de fonction chez leur employeur actuel. Environ la moitié des Belges occupés ne s’en sont jamais vu attribuer une autre au sein de la même entreprise. Il s’agit pourtant d’une manière de garder la carrière des collaborateurs intéressante et pertinente dans un environnement en perpétuelle évolution, tant pour l’individu que pour l’organisation. Lire plus

Rémunérations flexibles: les freins perçus à l’introduction d’un plan cafétéria sont en train de disparaître.

Jusqu’il y a peu, les employeurs sous-estimaient le besoin urgent d’une rémunération flexible. Ce qui donnait lieu à un réel décalage entre employeurs et travailleurs. Ainsi, 43 % des employeurs donnent la priorité à un plan cafétéria, tandis que 70 % des travailleurs l’attendent. Les employeurs laissaient ici passer une chance d’augmenter la loyauté de leurs travailleurs sans devoir augmenter leurs frais. Désormais, les employeurs ne jugent plus insurmontables les principaux obstacles (organisation du travail et législation) empêchant de laisser les travailleurs compléter eux-mêmes leur salaire d’éléments tels que des vacances, des formations, une pension complémentaire et une voiture de société. Lire plus

Les vacances restent rares pour les indépendants qui peinent vraiment à se déconnecter de leurs clients…

Un peu plus d’un indépendant sur 3 (36 %) ne prend pas plus d’une semaine de vacances. Ils ne peuvent pas se permettre une plus longue période sans revenu ainsi que le coût du voyage. Et quand l’indépendant part tout de même en voyage, plus de 6 sur 10 restent disponibles, ce qui supprime le sentiment de vacances. Tendance récente: les starters font davantage attention aux vacances que les anciens. Lire plus

Les travailleurs de plus en plus nombreux à renoncer aux interruptions de carrière. La réforme du congé parental est attendue.

Le pourcentage de travailleurs du secteur privé recourant à l’interruption de carrière (ou à sa diminution) est passé pour la première fois sous le seuil des 10 % en 2018. Les règles plus strictes, la diminution des allocations pour certains travailleurs en crédit-temps ainsi que les modifications planifiées du congé parental contribuent à cette diminution. Le nombre d’interruptions de carrière culmine entre 30 et 39 ans et connaît un deuxième pic à partir de 50 ans. L’interruption de carrière reste plus populaire auprès des femmes, surtout auprès des employées du non-marchand. Lire plus

Confirmation de la bonne santé du recrutement des 55+, un des effets positifs de la ‘guerre’ des talents.

En moyenne, 7 % des nouveaux collègues entrés en fonction en 2018 avaient 55 ans ou plus. Cela signifie que les entreprises ont engagé près de 10 % de 55+ de plus qu’un an auparavant. Ces chiffres confirment la tendance en hausse des années précédentes. Sauf en Wallonie. Dans le sud du pays, le nombre d’engagements de travailleurs de plus de 55 ans a chuté d’un peu moins d’un pour cent vis-à-vis de 2017. Les plus de 55 ans engagés sont souvent des hommes ouvriers, mais les femmes de plus de 55 ans ont clairement enclenché la vitesse supérieure. Lire plus

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