Au cours des trois derniers mois, le Belge s’est déclaré moins souvent malade par rapport à l’année précédente. En novembre et en décembre 2020, 1,8 % des heures de travail ont en moyenne été perdues en raison d’absentéisme pour maladie de courte durée (absence de moins d’un mois). Ce chiffre est d’un quart inférieur à celui de novembre – décembre 2019. Il s’agit également d’une baisse de près de 30 % par rapport au premier confinement. Cette tendance positive pourrait indiquer le bon niveau de résistance au surmenage du côté des travailleurs. Hypothèse non explorée : elle peut aussi être le résultat de la non-déclaration d’absences dans le cadre du télétravail. Lire plus
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475.000 Belges actuellement au bord de la rupture? La résilience des travailleurs semble mise à rude épreuve…
La résilience globale du travailleur belge a diminué de manière significative par rapport à la période pré- COVID-19. C’est en tout cas ce que montrent les chiffres du bureau d’étude Ally Institute asbl, spécialisé dans le stress et le burn-out. Les chercheurs, sous la direction de l’experte Elke Van Hoof, prévoient qu’environ 475.000 Belges craqueront au travail dans les 12 à 18 mois à venir. L’étude souligne cependant qu’il n’y a aucune raison de paniquer. Lire plus
Absentéisme et pandémie : l’impact se marque surtout au niveau des absences de longue durée mais le pire est peut-être à venir.
Les chiffres du secrétariat social de Securex démontrent que sur l’année écoulée, les salariés ont perdu davantage d’heures de travail dues au chômage que dues à la maladie (9,6% contre 7,3%). Les absences de courte et moyenne durée ont baissé l’an dernier, mais nous pourrions assister à une explosion des chiffres dans la période post chauvin. En cause, un niveau de stress perçu comme étant très élevé, à considérer comme une bombe à retardement selon les experts de Securex. Lire plus
Vaccination des travailleurs: pas de priorité autre que celle concernant les travailleurs des soins de santé, selon l’avis des partenaires sociaux.
Les partenaires sociaux du Conseil Supérieur pour la Prévention et la Protection au Travail ont pris note des premières priorités fixées par les autorités compétentes dans le cadre de la stratégie de vaccination. La première priorité est de vacciner les travailleurs des soins de santé, les personnes de plus de 65 ans et les patients âgés de 45 à 65 ans présentant des comorbidités bien définies et risquant de développer une pathologie Covid-19 grave. Lire plus
Fedris repositionne son projet pilote Burn-out pour offrir un accompagnement personnalisé au secteur des soins de santé.
Depuis le 17 janvier 2019, Fedris, l’Agence fédérale des risques professionnels, mène un projet pilote de prévention secondaire du burn-out pour les secteurs hospitalier et bancaire. Suite à la crise de la COVID-19, les travailleurs des secteurs hospitalier et de soins, directement exposés, ont été particulièrement éprouvés. Consciente des répercussions de cette crise sanitaire sans précédent sur le risque d’épuisement professionnel de ces secteurs, Fedris étend son champ d’action afin de répondre au mieux aux besoins actuels et à venir. Lire plus
Résilience des travailleurs: les entreprises sont menacées d’une vague de burn-out et de bore-out si elles ne font pas davantage d’efforts pour le bien-être de leur personnel.
La moitié des salariés en Europe ne se sentent pas chez eux dans leur propre entreprise
Les salariés résilients capables de faire face à l’adversité et au stress valent de l’or en cette période de pandémie de Covid-19. L’enquête menée en Europe par la société de conseil en assurances AON indique que seuls 3 salariés sur 10 se sentaient résilients au début de la crise sanitaire. Par ailleurs, 1 salarié sur 2 ne se sent pas chez lui dans son entreprise, et considère que son potentiel n’est à ses yeux pas utilisé pleinement. « Les entreprises qui n’investissent pas davantage dans la vitalité de leur personnel feront face, une année après le début de la crise du Covid-19, à une vague de burn-out et de bore-out », selon l’experte en bien-être Ann De Bisschop. Lire plus
Licencier un travailleur qui refuse de porter un masque au travail: dans certains cas, le refus peut être considéré comme une faute grave.
Un travailleur doit-il porter un masque au travail? Pas toujours évident de répondre à cette question sans prendre en considération les spécificités de l’environnement… Entretemps, nous savons désormais qu’un employé qui refuse de porter un masque au travail, risque d’être licencié pour raisons impérieuses. Un employé de l’entreprise alimentaire Lommel Flanders Food Production, qui ne portait pas de masque a ainsi reçu son C4. Le tribunal du travail d’Anvers a jugé que le délit de non-respect du port du masque était suffisamment fondé. Lire plus
1 travailleur sur 4 redoute de décrocher à cause du stress: la gestion du bien-être physique, mental et social est une absolue nécessité.
La crise sanitaire du Covid-19 démontre de manière poignante qu’une politique de bien-être est devenue un pilier fondamental d’une politique RH efficace, quelle que soit la taille de l’entreprise. Dans ce cadre, une approche sur mesure – tant pour l’entreprise que pour chaque travailleur – et globale axée à la fois sur le bien-être physique, mental et social constitue un facteur de réussite essentiel. A travers de nouvelles plateformes digitales telle que celle proposée par AG Health Partner, une entreprise peut proposer – dans un cadre qu’elle fixe elle-même – une vaste gamme modulaire d’initiatives et d’activités qui permet à chaque collaborateur d’établir un plan d’action personnalisé, adapté à ses besoins. Lire plus