En vue des élections sociales 2020 et de l’installation des futurs organes de concertation, la FEB souhaite rappeler l’importance de veiller au respect des principes convenus sur le plan interprofessionnel ainsi que la possibilité de fixer des règles au niveau de l’entreprise. Lire plus
Résultats pour le tag: ‘temps de travail’
L’ère de la pointeuse n’est pas révolue en Belgique. Les outils numériques et biométriques peinent à s’installer dans nos entreprises.
Les entreprises où les travailleurs doivent (encore) pointer ou badger à leur arrivée au travail restent très nombreuses. Huit entreprises belges sur dix où le temps de travail est enregistré utilisent pour ce faire un système traditionnel Time & Attendance (T&A): un badge, une pointeuse ou une horloge, une feuille Excel voire même sur papier. Les alternatives numériques et biométriques, comme la connexion à l’aide d’applications ou avec une empreinte digitale, sont beaucoup moins fréquentes. Lire plus
Le flexitime est désormais installé dans 3/4 de nos entreprises: choisir ses heures et son lieu de travail devient la norme.
La flexibilité au travail a acquis droit de cité au sein des entreprises belges. Pas moins de 76% d’entre elles autorisent leur personnel – ou certaines catégories de collaborateurs – à pratiquer une ou plusieurs formes de travail flexible. Les modes de travail flexible les plus populaires sont le flexitime (Horaire à la carte – choisir soi-même ses heures de travail) avec 66%, suivi par le télétravail (depuis le domicile ou un espace de coworking) avec 45%. Lire plus
Le statut d’indépendant en activité complémentaire est un tremplin de plus en plus ‘évident’ vers l’entrepreneuriat.
L’année dernière (2018), près de 30 % des indépendants à titre complémentaire ont décidé de passer en activité principale. Il s’agit du pourcentage le plus élevé de ces 20 dernières années. Les indépendants en activité complémentaire qui passent à une activité principale le font de plus en plus vite après leur démarrage. Lire plus
L’horaire de travail classique de 9h à 17h semble appartenir au passé: la majorité des employeurs veut privilégier la qualité (et la flexibilité) du travail à la quantité des prestations.
Chez plus de 6 employeurs sur 10, il n’est plus question d’un horaire de travail traditionnel de neuf à cinq. Selon l’enquête proposée par Acerta, les entreprises sont très flexibles au niveau de la limite du temps de travail. Il reste toutefois des poches de résistance: 10 % des employeurs évaluent encore les performances des travailleurs en fonction de leur présence sur le lieu de travail et de la quantité de travail effectuée, plutôt que de la qualité du travail. Lire plus
Durée moyenne de la pause déjeuner du travailleur belge: 22 minutes !
22 minutes : c’est la durée moyenne de la pause déjeuner du Belge, tandis que ses collègues britanniques, allemands et français prennent respectivement 24, 25 et 29 minutes de pause. Le travailleur belge est donc celui qui prend le moins de temps lors de sa pause de midi, son homologue français celui qui en prend le plus. La différence de temps de pause accordé diffère également beaucoup selon les employeurs. Lire plus
Enregistrement du temps de travail: 50% des entreprises belges continuent à suivre au quotidien les prestations de tous leurs travailleurs.
La moitié des organisations belges utilisent l’enregistrement obligatoire du temps de travail et des présences pour tout leur personnel, et 22 % supplémentaires y ont recours pour une partie de leur travailleurs. La Belgique obtient le second résultat le plus bas de tous les pays sondés en matière d’enregistrement obligatoire du temps de travail et des présences. Lire plus
Les heures supp’ ne sont tout simplement pas compensées pour près de 25% des travailleurs.
Selon une étude menée par la société Protime, plus de la moitié (54%) des travailleurs actifs en Belgique francophone n’ont généralement pas le temps de s’acquitter de toutes leurs tâches. Pour terminer leur travail, ils sont souvent dans l’obligation de prester des heures supplémentaires qui, dans 23% des cas, ne sont pas compensées. Plus de la moitié des travailleurs (52%) sont demandeurs de davantage de transparence dans leur emploi du temps au travail. Lire plus
L’âge de départ effectif à la pension recule pour atteindre 62 ans, à l’initiative des travailleurs dans la plupart des cas.
En 2018, le marché de l’emploi belge n’a perdu que 0,2 % de travailleurs disposant d’un contrat à durée indéterminée en raison d’un départ à la pension. 0,17 % de ces derniers avaient atteint l’âge légal de la pension, 0,02 % ont bénéficié d’une pension anticipée et un pourcentage infime, 0,05 % des travailleurs, est entré dans le RCC. Les chiffres du prestataire de services Acerta montrent qu’année après année, nous sommes de plus en plus longtemps actifs sur le marché de l’emploi. L’âge de la pension réel moyen des travailleurs du secteur privé disposant d’un contrat à durée indéterminée s’élève actuellement à 62 ans en Belgique. Cela représente une augmentation de 2,5 % depuis 2010. Lire plus
Demander une augmentation de salaire reste compliqué pour la grande majorité des travailleurs.
Seul un quart des travailleurs belges osent demander une augmentation de salaire alors que plus de la moitié d’entre eux envisageraient de changer d’emploi s’ils pouvaient gagner davantage ailleurs. En 2018, plus des trois quarts (76,6 %) des Belges employés à temps plein n’ont pas demandé d’augmentation de salaire à leur employeur et 62,2 % n’ont pas prévu de le faire cette année. La différence entre les hommes et les femmes est frappante : 16,5% des femmes n’osent pas aborder le sujet avec leur supérieur, soit près du double des hommes (8,7%). Lire plus