
Les travailleurs belges étaient à 50% plus susceptibles, d’être absents pour une courte durée en janvier 2022 qu’au cours du même mois en 2019. C’est ce qui ressort des calculs de Securex. Lors d’un mois de janvier « normal » (sans coronavirus), environ 2,6% du temps de travail disponible des travailleurs est perdu en raison d’absence de courte durée. En janvier 2022, ce taux était à 3,9%. Les ouvriers ont été plus sévèrement touchés que les employés (respectivement 63% contre 45,3% de plus qu’en janvier 2019). Un effet indéniable du variant Omicron dans le nombre de travailleurs malades. Lire plus