Question posée lors d’un séminaire récent: faut-il être totalement épanoui et en équilibre, voire en paix avec soi-même, pour être en mesure de veiller au bien-être des travailleurs? La réponse est probablement oui. C’est préférable en tout cas. Comment peut-on absorber les problématiques de nos collègues si nous n’avons pas ni le recul ni la sérénité nécessaires? Problème : en tant que personne, manager ou collègue, nous passons tellement de temps à essayer de nous comprendre nous-mêmes, à nous définir et parfois même à nous réinventer, qu’il est peu évident de se consacrer aux autres. Si ce travail auto-centré se poursuit sans relâche, comment se préparer au mieux pour se concentrer sur celles et ceux qui ont besoin de soutien ? Lire plus